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FinanceL’économie américaine a affiché une remarquable résistance ces derniers mois, portée par un marché du travail solide et une consommation dynamique. Mais tout semble se tasser. Les dernières données à haute fréquence montrent que le consommateur pourrait s’essouffler, que l’activité d’embauche se modère, que l’activité des entreprises se ralentit, que les secteurs sensibles aux taux d’intérêt se replient et que le logement souffre. La question est de savoir si le rapport mensuel sur l’emploi de vendredi, facilement la pièce de données la plus attendue de la semaine, confirmera la tendance.
La résilience inébranlable du marché du travail américain est l’une des plus grandes sources de tension dans l’économie actuelle. Les responsables de la Réserve fédérale ont déclaré que les chiffres de l’emploi et le rythme des augmentations de salaires devaient baisser avant que l’inflation persistante puisse être surmontée. Au cours de l’année écoulée, la Fed a relevé ses taux d’intérêt de près de zéro à une fourchette de 4,75 % à 5 % pour refroidir l’économie. Mais les chiffres de l’emploi ont dépassé les attentes pendant 11 mois consécutifs. Le taux de chômage se situe actuellement à un niveau historiquement bas de 3,6 %. Un ralentissement du rapport officiel sur l’emploi américain vendredi pourrait signaler un changement de cap économique.
Voici une vidéo relatant ces faits :
Les dernières preuves sur le marché du travail, ainsi que nos conversations avec les dirigeants d’entreprises, indiquent que les efforts d’embauche ont été nettement réduits dans de nombreux secteurs, a écrit Gregory Daco, économiste en chef chez EY, dans une note mercredi. Cela pourrait signifier que les créations d’emplois en mars seront bien inférieures à l’estimation consensuelle de 240 000, a-t-il ajouté.
D’autres données sur l’emploi publiées cette semaine montrent que l’embauche pourrait ralentir. ADP a estimé que l’emploi dans le secteur privé a augmenté de 145 000 emplois en mars, en dessous du consensus de 200 000 ; et la mesure d’ADP de la croissance salariale annuelle a ralenti à 6,9 % contre 7,2 %. Le rapport JOLTS de février a montré quant à lui que les offres d’emploi ont chuté de 632 000 à 9,93 millions en février, contre 10,56 millions en janvier. Il s’agit du niveau le plus bas d’offres d’emploi depuis mai 2021.
La force du consommateur américain, que le PDG de Bank of America Brian Moynihan a déjà dit qu’il soutenait à lui seul l’économie américaine, semble également faiblir. L’élan des dépenses s’est refroidi en février et les analystes s’attendent à plus de faiblesse en mars.
Le Trésor américain publie quotidiennement des données sur les remboursements d’impôts et « le niveau des remboursements d’impôts aux ménages nous dit quelque chose sur le soutien qu’il y a aux dépenses des consommateurs », a déclaré Torsten Slok, économiste en chef chez Apollo Global Management. Les remboursements d’impôts au cours des dernières semaines ont été inférieurs à ceux des deux années précédentes.
La Banque centrale européenne (BCE) se trouve dans une situation délicate. D’un côté, elle doit faire face à une crise bancaire qui menace la stabilité financière de la zone euro. De l’autre, elle doit lutter contre une inflation galopante qui érode le pouvoir d’achat des […]
FinanceLa Banque centrale européenne (BCE) se trouve dans une situation délicate. D’un côté, elle doit faire face à une crise bancaire qui menace la stabilité financière de la zone euro. De l’autre, elle doit lutter contre une inflation galopante qui érode le pouvoir d’achat des citoyens. Comment la BCE peut-elle concilier ces deux objectifs ? Quelle est sa stratégie pour les prochaines années ?
La première priorité de la BCE est de soutenir le secteur bancaire européen, qui traverse une période de turbulences. Plusieurs établissements financiers ont été touchés par des scandales de fraude, des pertes liées à la faillite d’autres banques ou des difficultés à se refinancer sur les marchés. La BCE a donc mis en place des mesures exceptionnelles pour leur fournir des liquidités et les inciter à prêter à l’économie réelle. Elle a notamment baissé son taux de dépôt à -0,5 %, ce qui signifie que les banques doivent payer pour laisser leur argent à la BCE. Elle a également lancé des opérations de refinancement à long terme ciblées (TLTRO), qui permettent aux banques d’emprunter à des conditions avantageuses si elles accordent des crédits aux entreprises et aux ménages.
Voici une vidéo relatant cette nouvelle :
Selon l’économiste en chef de la BCE, Philip Lane, ces mesures ont permis d’éviter une crise systémique et de préserver la solidité des banques européennes. Il a affirmé que le système bancaire dispose de beaucoup de capitaux et que les banques ont été prudentes dans leurs décisions de prêt. Il a également assuré que la crise bancaire devrait être rapidement endiguée et que la BCE resterait vigilante pour intervenir en cas de besoin.
La deuxième priorité de la BCE est de maintenir la stabilité des prix dans la zone euro, conformément à son mandat. Or, depuis plus d’un an, l’inflation dépasse largement son objectif de 2 % par an. En janvier 2023, elle a atteint 8,5 % sur un an, selon Eurostat. Cette hausse s’explique par plusieurs facteurs : la reprise économique qui a suivi la crise sanitaire, le grippage des chaînes logistiques mondiales, la guerre en Ukraine qui a provoqué une flambée des prix du gaz et du pétrole, ou encore les effets de base liés à la baisse des prix en 2022.
Face à ce phénomène, la BCE a décidé d’augmenter ses taux d’intérêt, qui sont les principaux outils dont elle dispose pour influencer l’inflation. En effet, en renchérissant le coût du crédit, elle vise à freiner la demande, la consommation et donc la pression sur les prix. Depuis juillet 2022, elle a relevé cinq fois son taux principal, le taux de refinancement, qui est passé de 0 % à 1 %. Elle a également augmenté son taux de prêt marginal, qui sert aux prêts quotidiens aux banques, et son taux de dépôt.
Le 3 avril 2023, les utilisateurs de Twitter ont eu une surprise de taille : le logo du réseau social a été remplacé par un emoji chien de la race shiba inu. Il s’agit du symbole du Dogecoin, une cryptomonnaie créée en 2013 sur la […]
FinanceLe 3 avril 2023, les utilisateurs de Twitter ont eu une surprise de taille : le logo du réseau social a été remplacé par un emoji chien de la race shiba inu. Il s’agit du symbole du Dogecoin, une cryptomonnaie créée en 2013 sur la base d’un mème internet.
Derrière ce changement de logo, il y a un homme : Elon Musk, le patron de Twitter, qui est aussi un fervent défenseur du Dogecoin. Quelles sont les raisons de ce coup de maître ? Quelles sont les conséquences pour la cryptomonnaie et pour Twitter ? Voici un article de 1000 mots qui vous explique tout.
Le Dogecoin est une cryptomonnaie qui a été lancée en 2013 par deux développeurs, Billy Markus et Jackson Palmer. Ils ont voulu créer une monnaie numérique qui soit à la fois fun, décalée et accessible à tous. Pour cela, ils ont choisi comme symbole le shiba inu, un chien japonais qui est devenu célèbre sur internet grâce à un mème humoristique. Le nom du Dogecoin vient de la contraction de « doge », le surnom du chien, et de « coin », le terme anglais pour pièce.
Voici une vidéo en anglais relatant cette nouvelle :
Depuis sa création, le Dogecoin a connu un succès croissant auprès des internautes, qui l’utilisent pour faire des dons, des achats ou des paris en ligne. Le Dogecoin est aussi soutenu par des personnalités influentes, comme l’acteur Ashton Kutcher, le rappeur Snoop Dogg ou encore le milliardaire Elon Musk. Ce dernier est particulièrement fan du Dogecoin, qu’il qualifie de « cryptomonnaie du peuple ». Il n’hésite pas à en faire la promotion sur son compte Twitter, qui compte plus de 100 millions d’abonnés.
En remplaçant le logo de Twitter par le chien du Dogecoin, Elon Musk a voulu rendre hommage à cette cryptomonnaie qui incarne selon lui l’esprit d’internet : la créativité, l’humour et la générosité. Il a aussi voulu faire passer un message : Twitter est un réseau social ouvert à tous, qui permet de partager des idées et des opinions sans se prendre au sérieux.
Le changement de logo de Twitter n’est pas seulement un geste symbolique. C’est aussi une stratégie marketing audacieuse pour booster le cours du Dogecoin. En effet, Elon Musk sait que son influence sur les réseaux sociaux peut avoir un impact réel sur le marché des cryptomonnaies. Ses tweets en faveur du Dogecoin ont souvent provoqué des hausses spectaculaires du prix de la monnaie numérique.
En affichant le chien du Dogecoin sur le site de Twitter, Elon Musk a voulu attirer l’attention des millions d’utilisateurs du réseau social sur cette cryptomonnaie. Il a ainsi créé un buzz médiatique qui a suscité la curiosité et l’intérêt des internautes. Certains ont même décidé d’acheter du Dogecoin pour profiter de son potentiel de croissance.
Le résultat ne s’est pas fait attendre : le cours du Dogecoin a bondi de plus de 50% en quelques heures, passant de 0,05 à 0,08 dollar. Le Dogecoin a ainsi atteint son plus haut niveau depuis février 2021, quand il avait frôlé les 0,09 dollar. La capitalisation boursière du Dogecoin a également augmenté, dépassant les 10 milliards de dollars.
La cybersécurité est l’ensemble des mesures visant à protéger les systèmes informatiques et les données personnelles contre les attaques malveillantes. Elle concerne aussi bien les adultes que les enfants, qui sont de plus en plus exposés aux risques du numérique. En effet, les enfants utilisent […]
UncategorizedLa cybersécurité est l’ensemble des mesures visant à protéger les systèmes informatiques et les données personnelles contre les attaques malveillantes. Elle concerne aussi bien les adultes que les enfants, qui sont de plus en plus exposés aux risques du numérique. En effet, les enfants utilisent de nombreux appareils connectés à Internet, comme les smartphones, les tablettes, les ordinateurs ou les consoles de jeux, explique Imad Lahoud. Ils accèdent ainsi à une multitude de contenus en ligne, qui ne sont pas toujours adaptés à leur âge ou à leur bien-être.
La cybersécurité pour les enfants a donc un impact sur leur santé mentale, car elle peut les aider à se protéger des dangers du web, tels que le cyberharcèlement, l’hameçonnage, le surpartage d’informations personnelles ou la consultation de contenus choquants ou inappropriés. Ces situations peuvent en effet entraîner du stress, de l’anxiété, de la dépression ou des troubles du comportement chez les enfants. Il est donc important d’éduquer les enfants à la cybersécurité dès le plus jeune âge, en leur apprenant à utiliser Internet de manière responsable et sécurisée.
Voici une vidéo relatant ces faits :
L’hameçonnage est une technique utilisée par les cybercriminels pour tromper les internautes et leur soutirer des informations personnelles ou financières, ou leur faire télécharger des logiciels malveillants. Selon Imad Lahoud, l’hameçonnage peut se manifester sous différentes formes sur les différents supports en ligne, comme les courriels, les messages texte, les jeux vidéo, les médias sociaux, etc. Voici quelques conseils pour aider les enfants à se protéger de cette menace.
Premièrement, il faut apprendre aux enfants à reconnaître les signes d’un message d’hameçonnage. Par exemple, un message qui demande de confirmer des données sensibles, qui contient des fautes d’orthographe ou de grammaire, qui utilise un ton urgent ou menaçant, ou qui provient d’une adresse suspecte. Il faut aussi leur expliquer qu’ils ne doivent jamais cliquer sur un lien ou une pièce jointe sans vérifier la source et la destination.
Deuxièmement, il faut sensibiliser les enfants aux risques associés à l’hameçonnage. Si les cybercriminels réussissent à obtenir des informations personnelles ou financières, ils peuvent les utiliser pour usurper l’identité de l’enfant ou de ses parents, pour accéder à leurs comptes bancaires ou à leurs réseaux sociaux, ou pour commettre des fraudes. Si les cybercriminels réussissent à faire télécharger des logiciels malveillants, ils peuvent endommager l’appareil de l’enfant, voler ses données, espionner ses activités ou prendre le contrôle de son système, note Imad Lahoud.
Troisièmement, il faut équiper les enfants de moyens de défense contre l’hameçonnage. Il faut leur conseiller de créer un compte de messagerie sécurisé et de le surveiller régulièrement. Il faut aussi leur recommander d’utiliser un navigateur adapté aux enfants, qui filtre les sites web malveillants et qui bloque les publicités indésirables. Il faut enfin leur rappeler de ne jamais partager leurs mots de passe, leurs coordonnées ou leurs informations bancaires avec des inconnus en ligne, indique Imad Lahoud.
Les enfants sont de plus en plus connectés sur internet, que ce soit pour jouer, apprendre, s’informer ou communiquer. Mais ils sont aussi exposés à des risques liés à la collecte et au traitement de leurs données personnelles, qui peuvent porter atteinte à leur vie privée et à leur sécurité. Il est donc essentiel de les sensibiliser à la notion de vie privée et de données personnelles, de leur apprendre à distinguer ce qui peut être partagé sans danger et ce qui ne le peut pas (date de naissance, nom de famille, adresse, etc.) et de leur donner des conseils pour créer des mots de passe forts et sécurisés, affirme Imad Lahoud.
La protection des données personnelles des enfants est un enjeu d’envergure, qui concerne aussi bien les parents, les éducateurs, les autorités publiques que les acteurs du numérique. En mai 2018, le Règlement européen de protection des données (RGPD) est entré en vigueur, avec pour objectif d’harmoniser les pratiques de protection des données personnelles au sein de l’Union européenne et de responsabiliser tous les acteurs impliqués dans le traitement des données. Selon Imad Lahoud, le RGPD prévoit notamment que les enfants de moins de seize ans doivent obtenir le consentement de leurs parents pour toute collecte de données les concernant, et qu’ils ont le droit de demander l’effacement des données qui portent atteinte à leur vie privée.
Plusieurs ressources et initiatives existent pour sensibiliser les enfants et les adolescents à la protection et à la sécurité des données sur internet. Par exemple, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) propose le site Educnum, qui offre des outils pédagogiques adaptés aux différents âges et niveaux scolaires. Le site « Je décide » du Commissariat à la protection de la vie privée du Canada propose également des jeux, des vidéos et des fiches pratiques pour apprendre aux jeunes à gérer leur identité numérique. Enfin, le MOOC « SecNumAcademie » de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) permet aux internautes de tous âges de se former aux bonnes pratiques en matière de cybersécurité, indique Imad Lahoud.
Internet est un outil formidable pour apprendre, communiquer et se divertir, mais il comporte aussi des risques pour les enfants qui ne sont pas toujours conscients des dangers qu’ils peuvent rencontrer en ligne. Voici quelques recommandations pour les aider à se protéger des cyberattaques et à utiliser Internet de manière responsable.
– Tenez à jour votre navigateur et votre système d’exploitation, ainsi que les logiciels que vous utilisez. Les mises à jour corrigent souvent des failles de sécurité qui peuvent être exploitées par des personnes malveillantes pour infecter votre ordinateur ou accéder à vos données personnelles.
– Naviguez en mode “privé” ou “incognito” lorsque vous le pouvez. Ce mode empêche l’enregistrement de votre historique de navigation et limite l’envoi d’informations aux sites que vous visitez. Cela vous évite aussi d’être suivi par des publicités ciblées en fonction de vos recherches ou de vos centres d’intérêt.
– Refusez d’être pisté par les sites que vous visitez. Certains sites utilisent des fichiers appelés “cookies” pour collecter des informations sur votre comportement en ligne, comme les pages que vous consultez, le temps que vous y passez, ou les produits que vous achetez. Ces informations peuvent être utilisées pour vous proposer des offres personnalisées, mais aussi pour vous envoyer des messages frauduleux ou vous inciter à cliquer sur des liens malveillants. Vous pouvez paramétrer votre navigateur pour refuser les cookies ou les supprimer régulièrement.
– Bloquez les publicités indésirables ou intrusives. Certaines publicités peuvent être agaçantes, mais aussi dangereuses si elles contiennent des codes malveillants ou si elles vous redirigent vers des sites frauduleux. Vous pouvez installer des extensions sur votre navigateur pour bloquer les publicités ou les filtrer en fonction de leur contenu.
– Faites attention aux extensions que vous installez sur votre navigateur. Les extensions sont des programmes qui ajoutent des fonctionnalités à votre navigateur, comme la traduction automatique, le contrôle parental, ou la gestion des mots de passe. Mais certaines extensions peuvent être malveillantes et accéder à vos données personnelles, modifier le contenu des pages que vous visitez, ou afficher des publicités indésirables. Avant d’installer une extension, vérifiez sa source, sa réputation, et les permissions qu’elle demande.
– Faites preuve de vigilance lorsque vous naviguez sur Internet. Ne cliquez pas sur des liens ou des offres suspectes, qui peuvent être des tentatives d’hameçonnage (phishing) pour voler vos identifiants, vos mots de passe, ou vos coordonnées bancaires. Vérifiez l’adresse du site que vous visitez, et assurez-vous qu’il est sécurisé (il doit commencer par https et afficher un cadenas fermé). Ne téléchargez pas de fichiers provenant de sources inconnues ou non fiables, qui peuvent contenir des virus ou des logiciels espions (spyware).
– Ne parlez pas à des inconnus en ligne. Internet peut être un lieu d’échange et de partage, mais aussi de manipulation et de harcèlement. Ne communiquez pas vos informations personnelles (nom, âge, adresse, numéro de téléphone, photos…) à des personnes que vous ne connaissez pas ou qui vous semblent suspectes. Ne répondez pas aux messages insultants, menaçants, ou provocateurs, qui peuvent être le signe d’un cyberharcèlement. Bloquez ou signalez les personnes qui vous importunent ou qui vous demandent des choses inappropriées.
– Demandez l’avis d’un adulte en cas de doute. Si vous avez un problème ou une question sur Internet, n’hésitez pas à en parler à un parent, un professeur, ou une personne de confiance. Ils pourront vous conseiller, vous rassurer, ou vous aider à résoudre la situation. Vous pouvez aussi consulter des sites spécialisés qui vous donnent des informations et des conseils sur la sécurité et la citoyenneté numériques.
Le digital a bouleversé le monde de la finance, en offrant de nouvelles opportunités mais aussi de nouveaux défis aux acteurs du secteur, affirme Stéphane Soh Fonhoué, expert en digital. Face à la concurrence des Fintechs, à l’évolution des réglementations et aux exigences des clients, […]
FinanceLe digital a bouleversé le monde de la finance, en offrant de nouvelles opportunités mais aussi de nouveaux défis aux acteurs du secteur, affirme Stéphane Soh Fonhoué, expert en digital. Face à la concurrence des Fintechs, à l’évolution des réglementations et aux exigences des clients, les institutions financières doivent se transformer pour rester compétitives et pertinentes.
La transformation digitale est un enjeu majeur pour le secteur financier, qui doit s’adapter aux nouvelles attentes des clients, aux évolutions réglementaires et aux innovations technologiques. Dans ce contexte, quels sont les leviers de la transformation digitale dans la finance ? Voici quelques éléments de réponse.
La digitalisation permet de simplifier, d’accélérer et de sécuriser les processus financiers, tels que la comptabilité, le contrôle de gestion, le reporting ou encore le paiement, note Stéphane Soh Fonhoué. En dématérialisant les documents, en automatisant les tâches répétitives et en utilisant des outils d’analyse et de visualisation des données, les acteurs financiers gagnent en efficacité, en fiabilité et en productivité.
Voici une vidéo relatant ces faits :
La digitalisation permet de proposer des services financiers plus personnalisés, plus accessibles et plus interactifs aux clients. Selon Stéphane Soh Fonhoué, en utilisant des canaux digitaux, tels que les applications mobiles, les chatbots ou les réseaux sociaux, les acteurs financiers peuvent offrir une relation client plus fluide, plus transparente et plus proche. En exploitant les données clients, ils peuvent également proposer des offres adaptées à leurs besoins et à leurs préférences.
La digitalisation permet de créer de nouveaux produits et services financiers, qui répondent aux nouveaux usages et aux nouvelles opportunités du marché. En s’appuyant sur des technologies innovantes, telles que l’intelligence artificielle, la blockchain ou le cloud computing, les acteurs financiers peuvent développer des solutions plus performantes, plus sécurisées et plus compétitives, indique Stéphane Soh Fonhoué. Ils peuvent également se diversifier vers de nouveaux segments ou de nouveaux partenaires.
La digitalisation permet de renforcer la conformité aux normes et aux réglementations du secteur financier, qui sont de plus en plus complexes et évolutives. En utilisant des outils de surveillance, de contrôle et d’audit, les acteurs financiers peuvent assurer le respect des obligations légales et déontologiques, ainsi que la protection des données personnelles. Ils peuvent également mieux anticiper et gérer les risques financiers, opérationnels ou cybernétiques.
La digitalisation implique une transformation profonde de la culture et de la compétence des acteurs financiers, qui doivent acquérir de nouvelles connaissances et de nouvelles pratiques, note Stéphane Soh Fonhoué. En formant leurs collaborateurs aux outils et aux méthodes digitaux, en favorisant le partage d’expériences et la collaboration transversale, en stimulant la créativité et l’agilité, les acteurs financiers peuvent développer une culture digitale forte et une compétence digitale différenciante.
La transformation digitale est un processus qui vise à intégrer les technologies numériques dans les activités d’une entreprise afin d’améliorer sa performance, sa compétitivité et sa relation avec ses clients. Dans le secteur de la finance, la transformation digitale représente un enjeu majeur, mais aussi un défi de taille, tant les opportunités et les risques sont importants.
La finance est au cœur de la stratégie de développement des entreprises. Elle doit fournir des informations fiables, pertinentes et rapides pour aider à la prise de décision, piloter la performance et optimiser les processus, indique Stéphane Soh Fonhoué. Pour cela, elle doit s’appuyer sur des outils digitaux qui lui permettent de collecter, traiter, analyser et diffuser les données financières. Les solutions de dématérialisation, d’automatisation, d’intelligence artificielle ou de blockchain sont autant de leviers pour accroître l’efficacité et la valeur ajoutée de la fonction finance.
La transformation digitale implique également une évolution des compétences et des métiers de la finance. Les professionnels du secteur doivent se former aux nouvelles technologies, mais aussi aux nouvelles réglementations, aux nouveaux modèles économiques et aux nouvelles attentes des clients. Ils doivent également développer des capacités d’adaptation, d’innovation et de collaboration pour accompagner le changement et créer de la confiance. Le rôle du directeur financier est particulièrement stratégique, car il doit être le moteur et le garant de la transformation digitale au sein de son organisation.
La transformation digitale offre des perspectives prometteuses pour la finance, mais elle comporte aussi des défis à relever, explique Stéphane Soh Fonhoué. Elle nécessite un investissement financier, humain et organisationnel conséquent, ainsi qu’une vision claire et partagée des objectifs à atteindre. Elle suppose également une gestion rigoureuse des risques liés à la sécurité, à la conformité, à la qualité ou à l’éthique des données. Elle implique enfin une ouverture et une coopération avec les autres acteurs du secteur, qu’il s’agisse des partenaires internes ou externes, des concurrents ou des régulateurs.
La transformation digitale est donc un enjeu essentiel pour la finance, qui doit se saisir des opportunités offertes par le numérique pour se réinventer et se renforcer. Elle représente une source de croissance, de compétitivité et de satisfaction pour les entreprises et leurs clients. D’après Stéphane Soh Fonhoué, elle constitue également un facteur de différenciation et d’attractivité pour les professionnels du secteur, qui peuvent valoriser leurs compétences et leur expertise dans un environnement dynamique et stimulant.
La réforme du système judiciaire en Israël, portée par le Premier ministre Benyamin Netanyahou et ses alliés d’extrême-droite et ultra-orthodoxe, suscite une vive opposition dans le pays depuis trois mois. Ce projet, qui vise à affaiblir le pouvoir de la Cour suprême et à renforcer […]
Actualité IsraëlLa réforme du système judiciaire en Israël, portée par le Premier ministre Benyamin Netanyahou et ses alliés d’extrême-droite et ultra-orthodoxe, suscite une vive opposition dans le pays depuis trois mois. Ce projet, qui vise à affaiblir le pouvoir de la Cour suprême et à renforcer celui du Parlement, a provoqué des manifestations massives, un appel à la grève générale et une crise politique.
Face à la pression populaire, Netanyahou a annoncé, le 27 mars 2023, une pause dans le processus d’adoption de la réforme, reportant son examen à la prochaine session parlementaire. Voici quelques questions pour mieux comprendre ce dossier complexe et sensible.
Voici une vidéo relatant cette nouvelle :
La réforme du système judiciaire comprend quatre propositions de loi qui visent à limiter le rôle de la Cour suprême, qui est l’instance judiciaire la plus haute du pays et qui a le pouvoir d’invalider les lois votées par le Parlement (la Knesset) si elles sont contraires aux principes démocratiques ou aux droits fondamentaux.
– La première mesure est une clause dérogatoire, qui permettrait au Parlement, par un vote à la majorité simple, de protéger une loi contre toute annulation par la Cour suprême. Il s’agit d’une sorte de droit de veto pour empêcher le contrôle de constitutionnalité des lois.
– La deuxième mesure est une modification du mode de nomination des juges de la Cour suprême, qui donnerait plus de poids aux représentants politiques au sein du comité chargé de les désigner. Aujourd’hui, ce comité est composé de neuf membres : trois juges de la Cour suprême, deux ministres, deux députés et deux représentants du barreau. La réforme prévoit que les juges ne soient plus que deux et que les ministres et les députés soient quatre.
– La troisième mesure est une réduction de l’influence des conseillers juridiques au sein des ministères. Aujourd’hui, leurs recommandations sont citées par les juges de la Cour suprême lorsqu’ils statuent sur la bonne conduite du gouvernement. La réforme prévoit que ces recommandations soient clairement considérées comme des avis non contraignants.
– La quatrième mesure est une limitation du pouvoir de la Cour suprême en matière de droits des minorités. La réforme prévoit que la Cour ne puisse pas invalider une loi fondamentale (qui fait office de constitution) votée par le Parlement, même si elle porte atteinte aux droits des minorités. Par ailleurs, les conditions requises pour permettre à la Cour d’invalider une loi ordinaire ont été sévèrement durcies.
Les partisans de la réforme affirment qu’elle vise à corriger un déséquilibre entre le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire, en renforçant le rôle des élus du peuple face à celui des magistrats. Ils accusent la Cour suprême d’être trop interventionniste, trop libérale et trop favorable aux minorités (arabes, LGBT, migrants…).
Ils estiment que la Cour outrepasse ses prérogatives en annulant des lois votées démocratiquement par le Parlement et en imposant ses vues sur des questions politiques ou sociétales. Ils considèrent que la réforme est nécessaire pour garantir la souveraineté du peuple et la sécurité nationale.
Les opposants à la réforme dénoncent une tentative de coup d’État visant à affaiblir l’État de droit et à instaurer un régime autoritaire.
Isaac Herzog, président israélien, a lancé un appel au gouvernement pour arrêter le travail des députés sur la réforme de justice. Ce projet est en effet en train de diviser le pays. Dans un communiqué publié par ses services, le président a exprimé son inquiétude […]
Actualité IsraëlIsaac Herzog, président israélien, a lancé un appel au gouvernement pour arrêter le travail des députés sur la réforme de justice. Ce projet est en effet en train de diviser le pays. Dans un communiqué publié par ses services, le président a exprimé son inquiétude quant à la situation actuelle qui menace la sécurité, l’économie et la société israéliennes. Il a également appelé le Premier ministre, les membres du gouvernement et de la majorité à trouver une solution de compromis pour arrêter le processus législatif.
Le projet de réforme judiciaire proposé par le gouvernement de Benyamin Netanyahou vise à accroître le pouvoir des élus sur celui des juges, suscitant la contestation dans la rue depuis bientôt trois mois. Une grande mobilisation se produit actuellement dans le pays en raison de ce projet.
Voici une vidéo relatant cette nouvelle :
Des milliers de manifestants sont descendus dans la rue de la capitale après le départ du Premier ministre israélien et du ministre de la Défense. Ces manifestations ont été marquées par des scènes de violence, de heurts avec la police et d’arrestations.
La crise politique et sociale qui secoue Israël depuis des mois s’intensifie à mesure que la date des élections approche. Benyamin Netanyahou, Premier ministre sortant, fait face à une concurrence féroce pour obtenir un nouveau mandat. Les critiques de la réforme judiciaire, les défenseurs des droits humains et les militants de la société civile craignent que la réforme judiciaire ne permette au Premier ministre de rester au pouvoir malgré les poursuites pour corruption auxquelles il est confronté.
La réforme judiciaire proposée vise à modifier la composition du comité de nomination des juges de la Cour suprême, qui est responsable de la nomination des juges des tribunaux de première instance et des cours d’appel. Le projet de loi proposé par le gouvernement prévoit que le comité de nomination soit composé de neuf membres au lieu des onze actuels. Les partisans de la réforme affirment que cette modification permettra d’assurer une plus grande représentativité politique dans la nomination des juges.
Cependant, les détracteurs de la réforme estiment que cette modification permettra aux partis politiques de nommer des juges qui leur sont favorables, mettant ainsi en péril l’indépendance du pouvoir judiciaire. Ils soulignent également que la réforme judiciaire est une attaque contre la démocratie et une tentative de restreindre la liberté de la presse.
L’appel du président Isaac Herzog intervient alors que le pays est confronté à une crise politique et sociale sans précédent. Les manifestations contre la réforme judiciaire se sont intensifiées ces dernières semaines, avec des manifestations massives dans plusieurs villes d’Israël. Les protestataires ont exprimé leur opposition au projet de réforme, affirmant qu’il menaçait l’indépendance du système judiciaire et les droits de l’homme.
La réforme proposée par le gouvernement de Benyamin Netanyahou prévoit notamment de permettre au Parlement de nommer les juges de la Cour suprême, actuellement nommés par une commission indépendante. Cette mesure, selon les opposants, affaiblirait l’indépendance de la justice et risquerait de favoriser l’influence politique sur le système judiciaire.
Le projet de réforme est également accusé de porter atteinte à l’État de droit et à la démocratie. Les manifestants estiment que la réforme est une tentative de mettre fin à l’équilibre des pouvoirs en faveur de l’exécutif, ce qui pourrait entraîner des conséquences désastreuses pour la société israélienne.
En effet, l’indépendance du système judiciaire est un élément clé de toute démocratie. Les juges doivent être libres de prendre des décisions en fonction de leur interprétation de la loi, sans être soumis à des pressions politiques ou économiques. Si cette indépendance est menacée, cela pourrait avoir des conséquences graves pour la stabilité du pays.
Les inquiétudes sur l’avenir de la démocratie israélienne ont également été renforcées par la crise politique qui dure depuis plus de deux ans. Les gouvernements successifs ont été incapables de former une coalition stable, ce qui a entraîné la tenue de quatre élections en deux ans. Cette instabilité politique a conduit à une paralysie du gouvernement et a rendu difficile la prise de décisions importantes pour le pays.
La crise politique a également mis en lumière les divisions de la société israélienne, notamment en ce qui concerne les relations avec les Palestiniens. Les négociations pour la paix sont dans l’impasse depuis des années, ce qui a entraîné une aggravation des tensions entre les communautés juive et arabe d’Israël.
Dans un timing parfait, digne des célèbres montres suisses, les autorités suisses ont réussi à orchestrer une acquisition de dernière minute d’urgence de la banque en difficulté Credit Suisse par le géant bancaire UBS. Lors d’une conférence de presse dimanche, le président suisse Alain Berset […]
FinanceDans un timing parfait, digne des célèbres montres suisses, les autorités suisses ont réussi à orchestrer une acquisition de dernière minute d’urgence de la banque en difficulté Credit Suisse par le géant bancaire UBS.
Lors d’une conférence de presse dimanche, le président suisse Alain Berset a déclaré que les récentes turbulences dans le secteur bancaire avaient déstabilisé Credit Suisse et que cette transaction était vitale pour stabiliser la banque et le secteur bancaire mondial.
Selon les termes de l’accord, UBS Group AG achètera Credit Suisse pour plus de 3 milliards de dollars en actions. UBS recevra également 100 milliards de dollars supplémentaires de la Banque centrale suisse dans le cadre de la transaction.
La fusion entre UBS et sa rivale en difficulté Credit Suisse est la dernière secousse en date des troubles bancaires suscités par l’effondrement de Silicon Valley Bank.
Voici une vidéo en anglais relatant cette nouvelle :
Des investisseurs paniqués et des déposants nerveux ont retiré des milliards de dollars de Credit Suisse ces derniers jours, suscitant des inquiétudes quant à une éventuelle insolvabilité de la banque si des mesures d’urgence n’étaient pas prises. La Banque centrale suisse a injecté 54 milliards de dollars pour sauver Credit Suisse, mais cela n’a pas suffi à stabiliser l’institution.
Cet événement spectaculaire s’inscrit dans une semaine de turbulences et d’alarme dans le secteur bancaire, particulièrement préoccupant car Credit Suisse est considérée comme une banque systémiquement importante à l’échelle mondiale. Cela signifie essentiellement que si Credit Suisse fait faillite, cela pourrait avoir des répercussions dans l’économie mondiale.
La crise du Credit Suisse a éclaté la semaine dernière lorsque la banque a révélé des faiblesses importantes dans ses rapports financiers.
Mais les problèmes de la banque ont commencé bien avant cela, avec une série de scandales financiers et politiques qui ont brisé la réputation et les résultats de la banque. Au cours des deux dernières années seulement, les actions de la banque ont chuté de plus de 80 %.
Le Credit Suisse a été fondé il y a 166 ans pour contribuer au financement du réseau ferroviaire suisse. Elle a acquis une renommée internationale dans le secteur bancaire et est devenue l’une des plus grandes banques du monde.
Cependant, la réputation de la banque a pris plusieurs coups importants ces dernières années, notamment son implication dans une opération de blanchiment d’argent impliquant un réseau de trafic de cocaïne bulgare et son recrutement de détectives pour espionner les cadres qui se sont présentés à la banque.
La Silicon Valley Bank, principalement connue pour ses relations avec les startups technologiques et les firmes de capital-risque, a fait face à l’un des plus anciens problèmes bancaires, une ruée vers les guichets, qui a conduit à sa faillite vendredi dernier. Sa chute est la […]
FinanceLa Silicon Valley Bank, principalement connue pour ses relations avec les startups technologiques et les firmes de capital-risque, a fait face à l’un des plus anciens problèmes bancaires, une ruée vers les guichets, qui a conduit à sa faillite vendredi dernier.
Sa chute est la plus grande faillite d’une institution financière aux États-Unis depuis l’effondrement de Washington Mutual lors de la crise financière il y a plus d’une décennie. Et elle a eu des effets immédiats.
Certaines startups ayant des liens avec la banque ont dû se précipiter pour payer leurs travailleurs et craignaient de devoir suspendre des projets ou licencier des employés jusqu’à ce qu’elles puissent accéder à leurs fonds.
Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a déclaré samedi qu’il était en pourparlers avec la Maison Blanche pour aider à stabiliser la situation le plus rapidement possible, pour protéger les emplois, les moyens de subsistance des gens, et l’ensemble de l’écosystème d’innovation qui a servi de pilier à notre économie
Comment cela s’est-il produit ? Voici ce qu’il faut savoir sur les raisons de la faillite de la banque, qui a été le plus touché, et ce qu’il faut savoir sur la manière dont cela peut, ou non, affecter le système bancaire dans son ensemble aux États-Unis.
Voici une vidéo relatant l’annonce de cette nouvelle :
Silicon Valley Bank a été durement touchée par la baisse des actions technologiques au cours de la dernière année ainsi que par le plan agressif de la Réserve fédérale américaine visant à augmenter les taux d’intérêt pour lutter contre l’inflation. Au cours des deux dernières années, la banque a acheté des milliards de dollars d’obligations en utilisant les dépôts des clients, comme une banque typique le ferait normalement.
Ces investissements sont généralement sûrs, mais la valeur de ces investissements a chuté car ils ont payé des taux d’intérêt inférieurs à ce qu’une obligation comparable paierait si elle était émise dans l’environnement de taux d’intérêt plus élevés d’aujourd’hui. En règle générale, ce n’est pas un problème, parce que les banques conservent ces investissements pendant longtemps, sauf si elles doivent les vendre en cas d’urgence. Mais les clients de Silicon Valley étaient en grande partie des startups et d’autres entreprises centrées sur la technologie qui ont commencé à avoir besoin de liquidités au cours de la dernière année. Le financement du capital-risque se tarissait, les entreprises ne pouvaient pas obtenir de nouveaux tours de financement pour des activités non rentables et devaient donc puiser dans leurs fonds existants – souvent déposés auprès de la Silicon Valley Bank, qui était au centre de l’univers des startups technologiques.
Les clients de la banque ont alors retiré leurs dépôts. Au départ, ce n’était pas un problème majeur, mais les retraits ont commencé à nécessiter que la banque commence à vendre ses propres actifs pour répondre aux demandes de retrait des clients.
Silicon Valley Bank rencontre deux problèmes importants qui pourraient causer des problèmes supplémentaires s’ils ne sont pas résolus rapidement. Le problème immédiat concerne les dépôts importants de la banque. Le gouvernement américain assure les dépôts jusqu’à 250 000 dollars, mais tout montant supérieur est considéré comme non assuré. La Federal Deposit Insurance Corporation a déclaré que les dépôts assurés seraient disponibles lundi matin. Cependant, la grande majorité des dépôts de la Silicon Valley Bank étaient non assurés, en raison de la clientèle composée principalement de start-ups et de travailleurs riches du secteur de la technologie.
Pour le moment, tout cet argent ne peut pas être accessible et devra probablement être libéré de manière ordonnée. Cependant, de nombreuses entreprises ne peuvent pas attendre des semaines pour accéder à des fonds pour payer les salaires et les dépenses de bureau. Le deuxième problème clé est l’absence d’acheteur pour la Silicon Valley Bank. En règle générale, les régulateurs bancaires cherchent une banque plus solide pour reprendre les actifs d’une banque défaillante, mais dans ce cas, une autre banque ne s’est pas manifestée.
Le prix du Bitcoin est actuellement en train de grimper en flèche, augmentant de plus de 20 % depuis vendredi dernier. Cette hausse pourrait être due à une toute nouvelle narration haussière qui est en train de se développer : utiliser le BTC pour battre […]
FinanceLe prix du Bitcoin est actuellement en train de grimper en flèche, augmentant de plus de 20 % depuis vendredi dernier. Cette hausse pourrait être due à une toute nouvelle narration haussière qui est en train de se développer : utiliser le BTC pour battre les retraits bancaires, une situation qui se déroule actuellement aux États-Unis. Voici ce que cela pourrait signifier pour la première cryptomonnaie en termes de capitalisation boursière.
En fin de semaine dernière, il a été révélé que la Silicon Valley Bank avait effectivement échoué et que les déposants pourraient être incapables de retirer leur argent. C’est le deuxième plus grand échec bancaire aux États-Unis de l’histoire. Pire encore, cela a presque causé une panique généralisée et des retraits bancaires. Une ruée bancaire se produit lorsque les déposants craignent l’insolvabilité et se précipitent pour retirer de l’argent. Comme les banques ne conservent qu’une fraction des dépôts des clients pour les retraits, lorsque de nombreux clients essaient de retirer leur argent en même temps, la banque peut faire faillite.
Voici une vidéo relatant la hausse du prix du Bitcoin :
De manière troublante, la série de retraits bancaires survient quelques jours seulement après le 90e anniversaire de la proclamation 2039, lorsque FDR a annoncé une fermeture des banques d’une semaine pour mettre un terme abrupt aux retraits bancaires à travers le pays. Du jour au lendemain, le gouvernement américain a annoncé un plan pour indemniser tous les déposants et restaurer la confiance dans le système bancaire américain. Sinon, les retraits bancaires pourraient se propager. Cependant, la ruée bancaire a commencé à se propager d’une autre manière : en créant une nouvelle narration haussière pour Bitcoin.
En 2019, Bitcoin a augmenté de pair avec les métaux précieux et a été considéré comme l’or numérique. Plus tard en 2020 et 2021, il était le “cheval le plus rapide” dans la course contre l’inflation et a conduit le marché des cryptomonnaies à de nouveaux sommets historiques. Mais ensuite, le récit est devenu sombre et baissier. La hausse des taux et une Réserve fédérale hawkish, associées à l’échec en tant que couverture contre l’inflation pendant les plus forts chiffres d’inflation depuis plusieurs décennies, ont fait chuter le prix de Bitcoin de 78%.
Maintenant, après Operation Chokepoint et l’attaque contre l’industrie des cryptomonnaies, le gouvernement américain démarre un nouveau marché haussier dans les cryptomonnaies en renflouant à nouveau les banques. Bitcoin a été créé en 2009 au milieu des renflouements bancaires historiques de l’époque. Une référence à ces événements est cachée dans le Bloc Genesis. Quatorze ans plus tard, la cryptomonnaie subit son premier test bêta majeur. Bitcoin a été conçu pour permettre aux individus d’être leurs propres banques et de se libérer des dommages collatéraux des exemples répétés de cupidité humaine. Il semble que le marché pourrait réaliser ce fait très bientôt, provoquant une frénésie d’achat à travers les cryptomonnaies.