Les news de France & Israël
Dans un monde où l’intelligence artificielle (IA) redéfinit les frontières de l’innovation, Israël émerge comme un acteur incontournable. Surnommée la “Start-up Nation”, ce petit pays du Moyen-Orient se positionne aujourd’hui parmi les leaders mondiaux dans le domaine de l’IA. Comment Israël a-t-il réussi à se […]
InnovationMalgré sa petite taille, la principauté de Monaco est un véritable modèle de réussite économique. Longtemps connue pour ses casinos et son attrait touristique, cette cité-État a su diversifier son économie et se positionner sur des secteurs d’avenir. À l’heure où de nombreux pays cherchent […]
Actualité BusinessDans un monde en constante évolution, les méthodes de gestion traditionnelles peinent à s’adapter aux réalités d’un environnement professionnel dynamique et imprévisible. Les évaluations annuelles, longtemps considérées comme un pilier du management, sont remises en question par de nombreuses organisations qui optent pour des approches […]
BusinessLa crise sanitaire mondiale provoquée par la pandémie de Covid-19 a eu un impact considérable sur l’économie et les entreprises de nombreux pays. Face à ce défi sans précédent, certaines nations ont su faire preuve de résilience et d’innovation, à l’image d’Israël, surnommée la “Start-up […]
Business IsraëlLa crise sanitaire mondiale provoquée par la pandémie de Covid-19 a eu un impact considérable sur l’économie et les entreprises de nombreux pays. Face à ce défi sans précédent, certaines nations ont su faire preuve de résilience et d’innovation, à l’image d’Israël, surnommée la “Start-up Nation”. Ce petit pays de 9 millions d’habitants compte plus de 6 000 start-ups actives, le plus grand nombre par habitant au monde, et a vu émerger de nombreuses licornes (entreprises valorisées à plus d’un milliard de dollars) ces dernières années.
Il accueille également plus de 530 centres de recherche et développement de multinationales, ce qui lui vaut le surnom de “Scale-up Nation”. Quels sont les secrets qui font qu’un pays si petit dispose d’un écosystème entrepreneurial si dynamique et performant ? Comment les entrepreneurs israéliens font-ils face aux crises et les transforment-ils en opportunités ? C’est ce que nous allons voir dans cet article, en nous appuyant sur les témoignages de plusieurs acteurs clés du secteur.
L’une des caractéristiques qui distingue Israël des autres pays est sa situation géographique et géopolitique particulière. En effet, Israël est entouré par la mer Méditerranée d’un côté et par des pays qui n’ont pas de régime démocratique ni d’économie de marché libre. De plus, il est situé à plus de 1 600 kilomètres du pays membre de l’OCDE le plus proche, ce qui limite ses options de transport aérien ou maritime. Cette situation fait qu’Israël se comporte comme une île, isolée du reste du monde, et que ses habitants développent un état d’esprit global dès le départ. Comme le souligne Oded Agam, cofondateur et associé directeur de NextLeap Ventures, une société qui connecte les investisseurs avec l’innovation high-tech israélienne : “Toute entreprise, start-up ou grande entreprise qui aspire à réussir doit penser à une échelle mondiale dès le premier jour. Le marché est trop petit pour permettre un grand succès économique si l’on ne vise pas les marchés internationaux dès le départ”.
Par ailleurs, Israël est confronté à des menaces constantes sur sa sécurité et son existence, que ce soit sous la forme d’attaques terroristes, de guerres ou de boycotts. Ces défis ont forgé une culture de l’urgence, du risque et de l’adaptation chez les Israéliens, qui sont habitués à vivre dans l’incertitude et à trouver des solutions créatives aux problèmes. Comme le dit le célèbre slogan : “Necessity is the mother of invention”. L’innovation et l’entrepreneuriat sont donc une nécessité pour survivre et prospérer dans un environnement hostile.
Une autre caractéristique qui fait la force des entrepreneurs israéliens est leur capital psychologique, c’est-à-dire l’ensemble des ressources mentales dont ils disposent pour faire face aux difficultés et aux opportunités. Parmi ces ressources, on peut citer l’espoir, l’optimisme, la confiance en soi et la résilience. Ces qualités sont essentielles pour entreprendre, car elles permettent de se fixer des objectifs ambitieux, de croire en sa capacité à les atteindre, de surmonter les obstacles et les échecs, et de rebondir après une crise.
Ces qualités sont particulièrement développées chez les entrepreneurs israéliens, comme l’a montré une étude menée par la professeure Dafna Kariv, de l’école Adelson d’entrepreneuriat de l’université Reichman, qui a étudié les effets des crises sur les jeunes entrepreneurs. Elle a découvert que les entrepreneurs israéliens ont des niveaux de stress très élevés, mais aussi des niveaux d’espoir et d’optimisme très élevés. Elle explique : “Ils disent : ‘Ma situation est difficile, je suis très inquiet – mais ça ira bien.’ Nous avons testé tout cela avec l’IA pour voir les sentiments. Ils sont très positifs et optimistes, même dans les moments difficiles”.
Ces sentiments positifs sont renforcés par le sentiment d’appartenance à une communauté, qui est également très fort chez les entrepreneurs israéliens. En effet, ces derniers bénéficient d’un réseau solide et solidaire, qui leur offre du soutien, des conseils, des contacts et des opportunités. Ce réseau est composé de divers acteurs, tels que les anciens combattants de l’armée, les anciens élèves des universités, les incubateurs, les accélérateurs, les investisseurs, les mentors, les partenaires et les clients. Comme le dit la professeure Kariv : “La communauté entrepreneuriale en Israël se mobilise en temps de crise et s’entraide mutuellement. Toutes ces déclarations des entrepreneurs sur le fait que l’entrepreneuriat est un monde de chien où il y a souvent une concurrence malsaine, peuvent être vraies, mais pas pendant une crise».
Enfin, une troisième caractéristique qui distingue les entrepreneurs israéliens est leur capacité managériale, c’est-à-dire leur aptitude à diriger et à gérer leur entreprise de manière efficace et efficiente. Cette capacité est mise à l’épreuve en temps de crise, où il faut faire preuve de réactivité, de flexibilité et de vision stratégique. Les entrepreneurs israéliens ont su démontrer qu’ils possèdent ces qualités, en adaptant rapidement leur modèle d’affaires, leurs produits ou leurs services aux besoins du marché, en réduisant leurs coûts ou en augmentant leurs revenus, en renforçant leur position concurrentielle ou en saisissant de nouvelles opportunités.
Par exemple, pendant la pandémie de Covid-19, de nombreuses start-ups israéliennes ont su tirer parti de la situation pour innover et se développer. C’est le cas de K Health, une plateforme qui utilise l’intelligence artificielle pour fournir des diagnostics médicaux personnalisés aux utilisateurs. La start-up a lancé un service gratuit de dépistage du coronavirus, qui a permis à plus d’un million de personnes dans le monde d’évaluer leur risque d’infection. Grâce à cette initiative, K Health a augmenté sa base d’utilisateurs, sa notoriété et sa valeur. Elle a levé 132 millions de dollars en janvier 2021 et est devenue une licorne.
Un autre exemple est celui de Lightricks, une start-up qui développe des applications de retouche photo et vidéo. Face à la demande croissante des utilisateurs confinés chez eux, la start-up a lancé plusieurs nouvelles applications et fonctionnalités, telles que Quickart, qui permet de créer des œuvres d’art numériques en quelques secondes, ou Facetune Video, qui permet d’embellir son visage sur les vidéos. Grâce à ces innovations, Lightricks a atteint plus de 500 millions de téléchargements et plus de 4 millions d’abonnés payants. Elle a également levé 130 millions de dollars en juillet 2021 et est également devenue une licorne.
Nous avons vu que la communauté entrepreneuriale israélienne se distingue par sa capacité à faire face aux crises et à les transformer en opportunités. Cette capacité repose sur trois caractéristiques principales : l’innovation et l’entrepreneuriat comme nécessité, le capital psychologique des entrepreneurs israéliens et leur capacité managériale. Ces caractéristiques font d’Israël un modèle d’écosystème entrepreneurial dynamique et performant, dont les autres pays peuvent s’inspirer.
La transat Jacques Vabre, aussi appelée la Route du Café, est une course à la voile en double qui relie Le Havre à Salvador de Bahia au Brésil tous les deux ans. Créée en 1993, elle célèbre le lien historique entre ces deux villes, qui […]
Actualité FranceLa transat Jacques Vabre, aussi appelée la Route du Café, est une course à la voile en double qui relie Le Havre à Salvador de Bahia au Brésil tous les deux ans. Créée en 1993, elle célèbre le lien historique entre ces deux villes, qui étaient les principaux ports du commerce du café au XVIIIe siècle. La transat Jacques Vabre 2023 sera la 16ᵉ édition de cette épreuve sportive et humaine, qui rassemble des navigateurs de haut niveau et des passionnés de la mer.
RECOCASH, une entreprise spécialisée dans le recouvrement de créances depuis plus de 40 ans, a décidé de s’associer à cet événement prestigieux en tant que partenaire officiel. RECOCASH accompagne les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs dans la gestion de leur poste clients, en leur proposant des solutions sur mesure adaptées à leurs besoins. RECOCASH dispose d’un réseau national de 250 collaborateurs et d’une plateforme digitale innovante, qui lui permettent d’offrir un service de qualité et de proximité à ses clients.
La Transat Jacques Vabre, aussi connue sous le nom de Route du Café, fêtera ses 30 ans en 2023. Cette course transatlantique en double, qui relie Le Havre à Fort-de-France, réunit près de 200 marins répartis en quatre catégories : les Class40, les Imoca, les Ocean Fifty et les Ultim. Pour cette édition anniversaire, les organisateurs ont prévu trois parcours différents selon les types de bateaux, avec des distances allant de 4 350 à 5 800 milles nautiques. Quels sont les enjeux et les nouveautés de cette Transat Jacques Vabre 2023 ?
La Transat Jacques Vabre rejoindra pour la deuxième fois consécutive la Martinique, après une première édition réussie en 2021. L’arrivée se fera à Fort-de-France, la capitale de l’île aux fleurs, qui offre un cadre idyllique et chaleureux aux marins. La Martinique est également un lieu chargé d’histoire pour la Route du Café, puisque c’est là que les premiers plants de caféiers ont été introduits en Amérique au XVIIIe siècle. La Martinique est aussi un partenaire engagé dans la protection de l’environnement marin, un sujet cher à la Transat Jacques Vabre.
Voici une vidéo présentant cette compétition :
Pour la première fois, la Transat Jacques Vabre proposera trois parcours différents selon les catégories de bateaux, afin de tenir compte des performances et des contraintes de chaque type de voilier. Les Class40, les plus petits et les plus lents, auront le parcours le plus court, avec 4 350 milles nautiques à parcourir. Ils devront contourner l’archipel des Canaries par l’ouest avant de mettre le cap sur la Martinique. Les Imoca, les monocoques du Vendée Globe, auront un parcours intermédiaire, avec 4 650 milles nautiques. Ils devront passer entre les îles du Cap-Vert avant de rejoindre Fort-de-France. Enfin, les Ocean Fifty, les multicoques les plus rapides, auront le parcours le plus long, avec 5 800 milles nautiques. Ils devront faire le tour de l’Atlantique en passant par le Brésil et l’équateur avant de remonter vers la Martinique.
Les Ultim, les géants des mers capables de voler au-dessus de l’eau, seront les grands absents de cette Transat Jacques Vabre 2023. Ces bateaux exceptionnels, qui mesurent plus de 30 mètres de long et peuvent atteindre des vitesses supérieures à 40 nœuds, ont participé à la dernière édition en 2019, mais ont décidé de ne pas renouveler l’expérience en 2023. Les raisons invoquées sont le manque de disponibilité des bateaux, qui doivent se préparer pour d’autres courses comme le tour du monde en solitaire ou le Trophée Jules Verne, ainsi que la difficulté à trouver un co-skipper adapté à ces machines complexes. Les Ultim restent néanmoins partenaires de la Transat Jacques Vabre et soutiennent les autres catégories.
La Transat Jacques Vabre est une course engagée pour la préservation des océans, qui sont menacés par le réchauffement climatique, la pollution et la surpêche. La course s’est associée à la Fondation de la Mer, qui œuvre pour la protection du milieu marin et la sensibilisation du grand public. Les skippers sont invités à adopter une démarche écoresponsable, en limitant leur consommation d’énergie et d’eau, en évitant les déchets plastiques et en respectant la faune et la flore marines. La course soutient également des projets de recherche scientifique sur l’océanographie, la météorologie ou la biodiversité, en embarquant des capteurs ou des instruments de mesure à bord des bateaux.
RECOCASH partage les valeurs de la transat Jacques Vabre, qui sont l’audace, l’excellence, le respect et la solidarité. En effet, RECOCASH se distingue par son approche éthique et responsable du recouvrement, qui vise à préserver la relation commerciale entre le créancier et le débiteur. RECOCASH s’engage également à respecter les normes environnementales et sociales dans son activité, en réduisant son empreinte écologique et en favorisant la diversité et l’égalité des chances au sein de ses équipes.
Par ailleurs, RECOCASH est sensible à l’aventure humaine que représente la transat Jacques Vabre, qui met en lumière le courage, la persévérance et l’esprit d’équipe des skippers. RECOCASH reconnaît également le défi technique et technologique que constitue cette course, qui nécessite des bateaux performants et adaptés aux conditions météorologiques. RECOCASH admire enfin la passion et l’enthousiasme qui animent les participants et les organisateurs de cette compétition nautique.
En tant que partenaire officiel de la transat Jacques Vabre 2023, RECOCASH bénéficie d’une visibilité accrue auprès du grand public et des professionnels du monde maritime. RECOCASH profite également d’un accès privilégié aux animations et aux rencontres organisées autour de l’événement, qui lui permettent de renforcer ses liens avec ses clients, ses prospects et ses partenaires. RECOCASH soutient en outre une cause qui lui tient à cœur, celle de la protection des océans et de la biodiversité marine.
En conclusion, RECOCASH est fier d’être partenaire de la transat Jacques Vabre 2023, une course à la voile qui illustre parfaitement son ADN : l’innovation, l’expertise, l’éthique et la proximité.
Shark Robotics est une entreprise française spécialisée dans la conception et la fabrication de robots utilitaires capables d’intervenir dans des situations dangereuses pour l’homme. Fondée en 2016 par Cyrille Kabbara, un expert en stratégie et intelligence économique, Shark Robotics s’est imposée comme un leader mondial […]
Business InnovationShark Robotics est une entreprise française spécialisée dans la conception et la fabrication de robots utilitaires capables d’intervenir dans des situations dangereuses pour l’homme. Fondée en 2016 par Cyrille Kabbara, un expert en stratégie et intelligence économique, Shark Robotics s’est imposée comme un leader mondial de la robotique dans le domaine de la sécurité incendie, du déminage et du nucléaire. Avec des produits innovants comme le fameux Colossus, le robot pompier qui a participé à l’extinction de l’incendie de Notre-Dame de Paris, Shark Robotics ambitionne de révolutionner le secteur de la robotique terrestre et de contribuer à la souveraineté technologique de la France.
Voici une vidéo présentant cette entreprise française :
Cyrille Kabbara n’est pas un ingénieur de formation, mais un passionné de robotique depuis son enfance. Après des études en droit et en sciences politiques, il se lance dans le domaine de la défense et de la sécurité, où il occupe plusieurs postes à responsabilité au sein de la CCI Paris Ile-de-France et du ministère des Armées. En 2012, il rejoint l’École de Guerre Économique, où il obtient un MBA en stratégie et intelligence économique. C’est là qu’il rencontre Jean-Jacques Topalian, un ingénieur spécialisé dans la robotique, avec qui il décide de créer Shark Robotics en 2016. Leur objectif : développer des robots capables d’assister les hommes dans des missions périlleuses, comme la lutte contre les incendies, le déminage ou l’intervention en milieu nucléaire.
Shark Robotics conçoit et fabrique des robots utilitaires, c’est-à-dire des robots qui ne sont pas destinés à remplacer l’homme, mais à le seconder dans des tâches difficiles ou dangereuses. Ces robots sont modulaires, robustes et polyvalents, capables de s’adapter à différents environnements et scénarios. Parmi les produits phares de Shark Robotics, on trouve le Colossus, un robot pompier qui peut transporter jusqu’à 500 kg de matériel, franchir des obstacles, résister à des températures élevées et projeter de l’eau ou de la mousse. Le Colossus a été utilisé avec succès lors de l’incendie de Notre-Dame de Paris en 2019, où il a permis d’éviter l’effondrement du bâtiment et de protéger les pompiers. Shark Robotics propose également le Rhyno Protect, un robot blindé destiné au déminage et à la neutralisation d’engins explosifs improvisés (EEI), ainsi que le Rhyno Guard, un robot destiné à la surveillance et à la protection des sites sensibles.
Shark Robotics est aujourd’hui reconnue comme un leader mondial de la robotique terrestre en environnements hostiles. Ses robots sont utilisés par plus de 50 clients dans le monde, dont les sapeurs-pompiers de Paris, le ministère des Armées français, l’OTAN, le CEA ou encore EDF. Shark Robotics exporte également ses produits dans plus de 20 pays, notamment aux Etats-Unis, au Canada, en Allemagne ou encore au Japon. En 2023, Shark Robotics a réalisé une levée de fonds de 10 millions d’euros auprès du fonds européen Move Capital, afin d’accélérer son développement international et d’investir dans la recherche et développement. Shark Robotics vise notamment à renforcer ses capacités en intelligence artificielle et en communication entre les robots.
Shark Robotics est animée par une vision éthique et responsable de la robotique terrestre. L’entreprise considère que les robots sont au service de l’humain, et non l’inverse. Elle s’engage à respecter les normes environnementales et sociales dans ses activités, et à promouvoir une utilisation pacifique et civile de ses robots. Shark Robotics participe également à des actions de sensibilisation et de formation auprès du grand public et des jeunes générations, pour démocratiser la robotique terrestre et susciter des vocations.
PGS Group est une entreprise spécialisée dans la fabrication, la réparation et la gestion de palettes en bois. Fondée en 1993 par Jean-Louis Louvel, un entrepreneur passionné et visionnaire, PGS Group est devenue en moins de 30 ans le leader français du secteur, avec un […]
Business FrancePGS Group est une entreprise spécialisée dans la fabrication, la réparation et la gestion de palettes en bois. Fondée en 1993 par Jean-Louis Louvel, un entrepreneur passionné et visionnaire, PGS Group est devenue en moins de 30 ans le leader français du secteur, avec un chiffre d’affaires de 600 millions d’euros en 2023 et plus de 1000 collaborateurs dans neuf pays. Mais quels sont les secrets de cette réussite exceptionnelle ? Comment PGS Group a su se démarquer de ses concurrents et s’adapter aux évolutions du marché ? Quels sont les projets et les ambitions de son fondateur pour l’avenir ? Découvrons ensemble le portrait d’une entreprise dynamique, innovante et responsable.
Jean-Louis Louvel n’est pas un chef d’entreprise comme les autres. Il a commencé sa carrière à l’âge de 18 ans, en créant sa première société de transport avec un camion et un téléphone portable. Il a ensuite découvert le monde de la palette en travaillant pour un client qui lui demandait de livrer des marchandises sur des supports en bois. Il a alors eu l’idée de se lancer dans ce secteur, en rachetant une petite scierie en Normandie. C’est ainsi qu’est né PGS Group, pour Palettes Gestion Services.
Voici une vidéo présentant cette entreprise :
Depuis, Jean-Louis Louvel n’a cessé de développer son entreprise, en misant sur la croissance externe. Il a repris sept sociétés en difficulté, en les redressant et en les intégrant à son groupe. Il a également diversifié ses activités, en proposant des solutions complètes de gestion des flux logistiques, avec des services de location, de recyclage et de traçabilité des palettes. Il a aussi investi dans l’innovation, en créant des palettes connectées, équipées de puces RFID qui permettent de suivre leur parcours en temps réel.
PGS Group se distingue par sa volonté d’offrir à ses clients des produits et des services de qualité, adaptés à leurs besoins. Pour cela, le groupe dispose d’un outil industriel performant, composé de 18 scieries et de 32 sites de production et de réparation de palettes. Il maîtrise ainsi toute la chaîne de valeur, depuis l’approvisionnement en bois jusqu’à la livraison chez le client.
PGS Group mise également sur la proximité avec ses partenaires, qu’il s’agisse des fournisseurs, des distributeurs ou des utilisateurs finaux. Le groupe s’approvisionne principalement auprès de forêts locales, certifiées PEFC (Programme for the Endorsement of Forest Certification), qui garantissent une gestion durable des ressources forestières. Il travaille aussi avec des acteurs locaux du transport et du recyclage, afin de réduire son empreinte carbone et de favoriser l’économie circulaire. Enfin, il accompagne ses clients dans l’optimisation de leurs flux logistiques, en leur proposant des solutions personnalisées et flexibles.
PGS Group ne compte pas s’arrêter là. Le groupe affiche des ambitions élevées pour les prochaines années. Son objectif : atteindre le milliard d’euros de chiffre d’affaires d’ici 2029. Pour y parvenir, il compte renforcer sa présence à l’international, notamment en Europe de l’Est et en Afrique. Il envisage aussi de se diversifier dans d’autres secteurs porteurs, comme le bois-énergie ou le bois-construction.
Mais PGS Group ne veut pas seulement grandir. Il veut aussi contribuer au bien commun, en s’engageant dans des actions sociales et environnementales.
Microsoft est l’une des entreprises les plus performantes et les plus innovantes du monde. Grâce à sa stratégie centrée sur le cloud et l’intelligence artificielle (IA), le géant américain des services informatiques affiche des résultats financiers impressionnants et se rapproche de plus en plus d’Apple, […]
Finance TechnologieMicrosoft est l’une des entreprises les plus performantes et les plus innovantes du monde. Grâce à sa stratégie centrée sur le cloud et l’intelligence artificielle (IA), le géant américain des services informatiques affiche des résultats financiers impressionnants et se rapproche de plus en plus d’Apple, la première capitalisation boursière mondiale.
L’intelligence artificielle est la capacité d’une machine ou d’un logiciel à réaliser des tâches qui nécessitent habituellement de l’intelligence humaine, comme la compréhension du langage, la reconnaissance d’images, la prise de décision ou l’apprentissage.
L’IA est un domaine en pleine expansion, porté par les progrès technologiques, la disponibilité des données et la demande croissante des entreprises et des consommateurs pour des solutions plus intelligentes, plus rapides et plus personnalisées.
Microsoft a fait de l’IA l’un de ses axes stratégiques majeurs, en investissant massivement dans la recherche, le développement et l’acquisition de technologies d’IA. Microsoft propose ainsi une gamme complète de services cloud basés sur l’IA, comme Azure AI, sa plateforme d’IA dans le cloud, ou OpenAI, son partenariat avec la célèbre organisation de recherche en IA.
Voici une vidéo relatant la position de Microsoft concernant l’IA :
Microsoft intègre également l’IA dans ses produits phares, comme Bing, son moteur de recherche, Office 365, sa suite bureautique, ou Windows 10, son système d’exploitation. Microsoft utilise notamment ChatGPT, une technologie d’IA générative issue d’OpenAI, qui permet de créer du contenu textuel à partir de mots-clés ou de phrases.
Microsoft dispose de plusieurs atouts qui lui confèrent un avantage concurrentiel dans le domaine de l’IA :
L’IA est un moteur de croissance pour Microsoft, qui se traduit par des résultats financiers exceptionnels. Au premier trimestre de son exercice 2023-2024 (juillet-septembre 2023), Microsoft a réalisé un chiffre d’affaires record de 56,5 milliards de dollars (+22% sur un an) et un bénéfice net de 19,9 milliards de dollars (+31% sur un an).
L’IA contribue notamment à la performance du segment Intelligent Cloud, qui regroupe les activités de cloud computing de Microsoft, dont Azure AI et OpenAI. Ce segment a généré 24,3 milliards de dollars de revenus au premier trimestre, en hausse de 30% sur un an. La croissance des revenus d’Azure a atteint 29%, contre 26% un an plus tôt.
L’IA booste également le segment Productivity and Business Processes, qui regroupe les produits comme Office 365, Dynamics 365 ou LinkedIn. Ce segment a affiché 18,4 milliards de dollars de revenus au premier trimestre, en progression de 22% sur un an. L’IA permet notamment d’enrichir les fonctionnalités des produits, comme la rédaction assistée dans Word ou la traduction automatique dans PowerPoint.
La valorisation boursière de Microsoft reflète son succès dans le domaine de l’IA. L’action Microsoft a atteint un nouveau record historique le 18 juillet 2023, à 366,78 dollars. Au 9 novembre 2023, l’action Microsoft cote 346,07 dollars, en hausse de 312% sur cinq ans, contre une progression de 42% pour le CAC 40 sur la même période.
Microsoft pèse ainsi plus de 2.690 milliards de dollars en Bourse, ce qui en fait la deuxième entreprise la plus valorisée au monde, derrière Apple, qui vaut plus de 2.800 milliards de dollars. Microsoft se rapproche donc peu à peu du sommet de la Bourse mondiale, grâce à sa stratégie centrée sur l’IA.
Oron Yacoby-Zeevi est le directeur scientifique de NeuroSense Therapeutics, une entreprise biotechnologique qui développe des traitements innovants pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA) et la maladie d’Alzheimer. Il a plus de 20 ans d’expérience dans la conception et la direction de programmes de recherche et […]
Israël SantéOron Yacoby-Zeevi est le directeur scientifique de NeuroSense Therapeutics, une entreprise biotechnologique qui développe des traitements innovants pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA) et la maladie d’Alzheimer. Il a plus de 20 ans d’expérience dans la conception et la direction de programmes de recherche et de développement pharmaceutique dans divers domaines, notamment les maladies du système nerveux central. Il est également membre du conseil d’administration d’OWC Pharmaceutical Research, une société spécialisée dans le développement de produits à base de cannabis médical.
Oron Yacoby-Zeevi est titulaire d’un doctorat en pharmacologie et d’un diplôme vétérinaire de l’Université hébraïque de Jérusalem. Il a commencé sa carrière comme chercheur au Centre médical Hadassah, où il a étudié les mécanismes moléculaires impliqués dans la neuroprotection et la neurodégénérescence. Il a ensuite rejoint Teva Pharmaceutical Industries, le plus grand fabricant de médicaments génériques au monde, en tant que directeur de projet senior. Il a été responsable du développement préclinique de plusieurs candidats-médicaments pour le traitement de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaques, de la douleur neuropathique et de l’épilepsie.
En 2016, Oron Yacoby-Zeevi a cofondé NeuroSense Therapeutics avec Alon Ben-Noon, un entrepreneur expérimenté dans le domaine des sciences de la vie. Leur objectif était de développer une nouvelle approche thérapeutique pour la SLA, une maladie neurodégénérative mortelle qui affecte les neurones moteurs responsables du contrôle des muscles. Ils ont mis au point un médicament appelé PrimeC, qui combine deux molécules ayant des effets bénéfiques sur la survie des neurones et la fonction musculaire. Le médicament a montré des résultats prometteurs dans des études précliniques et cliniques de phase I, et est actuellement en cours d’évaluation dans une étude clinique de phase II multicentrique en Israël et aux États-Unis.
Oron Yacoby-Zeevi est également impliqué dans le développement de produits à base de cannabis médical, qui ont un potentiel thérapeutique pour diverses maladies chroniques. Il est membre du conseil d’administration d’OWC Pharmaceutical Research, une société qui se concentre sur la recherche, le développement et la commercialisation de formulations innovantes de cannabis. Il supervise les activités scientifiques de la société, notamment l’étude des effets du cannabis sur les cellules cancéreuses, les maladies inflammatoires et les troubles du sommeil.
Oron Yacoby-Zeevi est animé par une passion pour la science et un désir d’améliorer la qualité de vie des patients souffrant de maladies incurables. Il croit au potentiel des approches multidisciplinaires et personnalisées pour trouver des solutions efficaces aux défis médicaux non résolus. Il est également engagé dans le transfert des connaissances scientifiques vers le public et les professionnels de la santé, à travers des publications, des conférences et des collaborations. Il est l’auteur ou le co-auteur de plus de 40 articles scientifiques dans des revues prestigieuses, tels que Nature Neuroscience, Journal of Neuroscience et Neurobiology of Disease.
Oron Yacoby-Zeevi espère que son médicament PrimeC sera approuvé par les autorités réglementaires et deviendra un traitement standard pour les patients atteints de SLA. Il souhaite également étendre son application à d’autres maladies neurodégénératives, comme la maladie d’Alzheimer, qui affectent des millions de personnes dans le monde. Il envisage également de poursuivre ses recherches sur le cannabis médical et d’explorer ses effets sur d’autres indications, comme l’anxiété, la dépression et le trouble du spectre de l’autisme. Il aspire à continuer à innover et à contribuer au progrès de la médecine et de la santé humaine.
Aharon Aharon est un nom qui résonne dans le monde de la haute technologie israélienne. Ce chef d’entreprise et ancien officier de l’armée de l’air est le directeur général de l’Autorité israélienne de l’innovation, l’agence gouvernementale chargée de soutenir et de promouvoir la recherche et […]
Innovation IsraëlAharon Aharon est un nom qui résonne dans le monde de la haute technologie israélienne. Ce chef d’entreprise et ancien officier de l’armée de l’air est le directeur général de l’Autorité israélienne de l’innovation, l’agence gouvernementale chargée de soutenir et de promouvoir la recherche et le développement dans le pays. Son parcours exemplaire illustre la réussite du modèle israélien, fondé sur l’excellence scientifique, l’esprit d’entreprise et la coopération entre les secteurs public et privé.
Aharon Aharon est né en 1955 à Tel-Aviv, dans une famille originaire du Maroc. Il grandit dans un quartier populaire et suit des études secondaires au lycée Herzliya, où il se distingue par ses aptitudes en mathématiques et en physique. Il intègre ensuite la prestigieuse université hébraïque de Jérusalem, où il obtient une licence en mathématiques et en informatique.
En parallèle de ses études, il effectue son service militaire obligatoire dans l’armée de l’air israélienne, où il occupe des postes à responsabilité dans le domaine du renseignement et des systèmes d’information. Il participe notamment à la conception et à la mise en œuvre du système informatique qui a permis à Israël de détruire le réacteur nucléaire irakien d’Osirak en 1981.
Après son service militaire, il poursuit sa carrière dans l’armée de l’air en tant que réserviste, tout en reprenant ses études à l’université hébraïque. Il y décroche un master en administration des affaires, puis un doctorat en informatique, avec une thèse portant sur les algorithmes d’optimisation.
Fort de ses compétences académiques et militaires, Aharon Aharon se lance dans le monde des affaires en 1987, en rejoignant la société Elbit Systems, un leader mondial de l’électronique de défense. Il y occupe le poste de directeur du développement logiciel, puis devient vice-président exécutif chargé des systèmes d’information.
En 1993, il quitte Elbit Systems pour fonder sa propre entreprise, State of the Art (SOTA), spécialisée dans le développement de logiciels pour les systèmes embarqués. Il dirige SOTA pendant six ans, jusqu’à sa vente à la société américaine Cadence Design Systems en 1999.
Il rejoint alors Cadence Design Systems en tant que vice-président senior et directeur général pour Israël. Il y supervise les activités de recherche et développement, ainsi que les acquisitions stratégiques de la société dans le pays. Il contribue ainsi à faire de Cadence Design Systems un acteur majeur du secteur des logiciels pour la conception électronique.
En 2006, il quitte Cadence Design Systems pour rejoindre Apple, le géant américain de l’informatique et des télécommunications. Il y occupe le poste de directeur général pour Israël, avec pour mission de développer les activités d’Apple dans le pays. Il est notamment responsable du recrutement et du management des équipes locales, ainsi que de la coordination avec les centres de recherche et développement d’Apple aux États-Unis. Il participe également à l’intégration des sociétés israéliennes acquises par Apple, comme Anobit, PrimeSense ou LinX.
En 2017, après plus de dix ans chez Apple, Aharon Aharon décide de relever un nouveau défi : celui de diriger l’Autorité israélienne de l’innovation (AII), l’agence gouvernementale chargée de soutenir et de promouvoir la recherche et le développement dans le pays.
L’AII est née en 2016 de la transformation du Bureau du scientifique en chef (BSC), qui existait depuis 1974. L’AII dispose d’un budget annuel de plus d’un milliard de shekels (environ 250 millions d’euros) et d’une équipe de plus de 200 employés. Son rôle est de financer des projets innovants dans tous les domaines de la science et de la technologie, de favoriser la coopération entre les acteurs de l’écosystème israélien de l’innovation (universités, instituts de recherche, entreprises, incubateurs, accélérateurs, fonds d’investissement, etc.), et de renforcer les liens entre Israël et les marchés internationaux.
Sous la direction d’Aharon Aharon, l’AII a lancé plusieurs initiatives visant à renforcer la compétitivité et la diversité de l’innovation israélienne. Parmi celles-ci, on peut citer :
Aharon Aharon est également impliqué dans le développement de la coopération internationale en matière d’innovation. Il a notamment signé des accords avec des pays comme la France, l’Allemagne, le Japon, l’Inde ou le Brésil, pour soutenir des projets conjoints entre des entreprises et des instituts de recherche israéliens et étrangers.
Aharon Aharon est considéré comme l’un des pionniers et des leaders de l’innovation israélienne. Il bénéficie d’une grande expérience et d’une large vision du secteur de la haute technologie, acquises au cours de sa carrière dans le domaine militaire, académique et entrepreneurial. Il dispose également d’un solide réseau professionnel et personnel, tant en Israël qu’à l’étranger.
Aharon Aharon est reconnu pour ses qualités humaines et managériales. Il est décrit comme un homme humble, intègre, passionné et visionnaire. Il sait écouter, motiver et inspirer ses collaborateurs. Il est également apprécié pour son sens du service public et son engagement en faveur du développement économique et social d’Israël.
Aharon Aharon est marié et père de trois enfants. Il vit à Herzliya, une ville située au nord de Tel-Aviv. Il aime voyager, lire et faire du sport.
Omri Casspi est un ancien joueur de basket-ball professionnel israélien, qui a évolué pendant 10 saisons dans la prestigieuse ligue américaine de la NBA. Il a été le premier joueur israélien à être sélectionné au premier tour de la draft de la NBA, et le […]
IsraëlOmri Casspi est un ancien joueur de basket-ball professionnel israélien, qui a évolué pendant 10 saisons dans la prestigieuse ligue américaine de la NBA. Il a été le premier joueur israélien à être sélectionné au premier tour de la draft de la NBA, et le premier Israélien à jouer dans un match de NBA. Il a également représenté son pays avec l’équipe nationale d’Israël, participant à plusieurs championnats d’Europe. Après avoir pris sa retraite sportive en 2021, il s’est lancé dans le monde des affaires, en créant un fonds d’investissement dédié aux startups technologiques.
Omri Casspi est né le 22 juin 1988 à Holon, en Israël. Il est issu d’une famille juive d’origine marocaine, et porte le nom de son grand-père maternel, Moshe, en hommage. Il commence à jouer au basket-ball dès son plus jeune âge, et intègre les équipes de jeunes du Maccabi Tel-Aviv, le club le plus titré du pays. Il fait ses débuts professionnels à l’âge de 17 ans avec l’équipe senior du Maccabi, lors de la saison 2005-2006. Il remporte alors le championnat israélien et la coupe d’Israël.
En 2006, il est prêté à l’Hapoël Galil Elyon, où il se révèle comme l’un des meilleurs espoirs du basket-ball israélien. Il obtient en moyenne 11,1 points et 3,1 rebonds par match, et participe au Nike Hoop Summit de Memphis, où il marque 14 points pour l’équipe mondiale face aux meilleurs joueurs américains de sa génération.
Il retourne au Maccabi pour la saison 2007-2008, et contribue à la qualification du club pour le Final Four de l’Euroligue, la plus prestigieuse compétition européenne. Il reçoit le prix du meilleur sixième homme du championnat israélien en 2008, avec des moyennes de 10,4 points et 4 rebonds par match.
En 2008, Omri Casspi se déclare éligible pour la draft de la NBA, mais il se retire avant la date limite, faute d’avoir obtenu une garantie d’être choisi au premier tour par une franchise. Il retente sa chance l’année suivante, et réalise son rêve le 25 juin 2009, en étant sélectionné en 23ᵉ position par les Kings de Sacramento. Il devient ainsi le premier joueur israélien à être drafté au premier tour de la NBA, et le premier Israélien à jouer dans un match de NBA.
Voici une vidéo présentant ce joueur :
Il fait ses débuts avec les Kings le 28 octobre 2009, face aux Thunder d’Oklahoma City. Il marque 15 points et prend 10 rebonds, réalisant un double-double pour sa première apparition. Il confirme son potentiel tout au long de sa saison rookie, avec des moyennes de 12,6 points et 4,5 rebonds par match. Il est choisi pour participer au Rookie Challenge du All-Star Weekend, où il marque 18 points pour l’équipe des rookies internationaux.
Il reste deux saisons supplémentaires à Sacramento, avant d’être transféré aux Cavaliers de Cleveland en juin 2011. Il y joue pendant deux ans également, sans réussir à s’imposer comme un titulaire indiscutable. En juillet 2013, il signe avec les Rockets de Houston, où il retrouve un rôle plus important dans la rotation. En décembre 2013, il établit son record personnel en NBA avec 34 points marqués face aux Kings.
En juillet 2014, il est impliqué dans un échange à trois équipes qui l’envoie aux Pelicans de La Nouvelle-Orléans, mais il est coupé par la franchise avant le début de la saison. Il décide alors de revenir à Sacramento, où il signe un contrat de deux ans. Il retrouve ses meilleures statistiques avec les Kings, avec des moyennes de 11,8 points et 5,9 rebonds par match lors de la saison 2015-2016.
En février 2017, il est à nouveau échangé aux Pelicans, en compagnie de son coéquipier et ami DeMarcus Cousins. Il ne joue que deux matchs avec les Pelicans, avant d’être libéré par la franchise. Il rejoint alors les Timberwolves du Minnesota, où il termine la saison.
En juillet 2017, il signe avec les Warriors de Golden State, champions en titre de la NBA. Il espère ainsi remporter son premier titre, mais il se blesse au dos en avril 2018, et manque les playoffs. Il est libéré par les Warriors en juillet 2018.
Il rebondit chez les Grizzlies de Memphis, où il signe un contrat d’un an. Il y joue 36 matchs, avec des moyennes de 6,3 points et 3,2 rebonds par match, avant d’être coupé par la franchise en février 2019.
Après avoir passé 10 saisons en NBA, Omri Casspi décide de rentrer en Israël en juillet 2019. Il signe un contrat de trois ans avec le Maccabi Tel-Aviv, le club de ses débuts. Il y retrouve son ancien entraîneur au Maccabi et aux Kings, David Blatt, qui souffre d’une sclérose en plaques.
Il remporte le championnat israélien et la coupe d’Israël en 2020, puis à nouveau la coupe d’Israël en 2021. Il annonce sa retraite sportive en juillet 2021, à l’âge de 33 ans.
Il se consacre alors à sa nouvelle carrière dans le monde des affaires. Il crée un fonds d’investissement dédié aux startups technologiques, baptisé Casspi Ventures. Il dispose d’un capital de 50 millions de dollars, et vise à soutenir des projets innovants dans les domaines de la santé, du sport, du divertissement ou encore de l’éducation.
Il s’appuie sur son expérience d’investisseur individuel, qu’il a acquise pendant sa carrière en NBA. Il a notamment investi dans des sociétés comme DocuSign, DayTwo ou encore OurCrowd.
Il s’implique également dans des causes humanitaires et sociales. Il est le fondateur de la fondation Omri Casspi, qui vise à aider les enfants défavorisés en Israël. Il organise également des voyages en Israël pour ses coéquipiers et amis de la NBA, afin de leur faire découvrir son pays et sa culture.
Omri Casspi est sans conteste le joueur israélien le plus célèbre et le plus accompli de l’histoire du basket-ball. Il a réussi à se faire une place dans la meilleure ligue du monde, la NBA, et à y briller pendant une décennie. Il a également porté haut les couleurs de son pays avec l’équipe nationale d’Israël, participant à six championnats d’Europe entre 2008 et 2017.
Il a été un ambassadeur du basket-ball israélien et du sport israélien en général, faisant connaître son pays et sa culture à travers le monde. Il a été un modèle pour de nombreux jeunes basketteurs israéliens, qui rêvent de suivre ses traces.
Il a également été un acteur engagé dans la société israélienne, soutenant des causes qui lui tiennent à cœur. Il a montré qu’il était possible de concilier une carrière sportive de haut niveau et une carrière entrepreneuriale réussie.
Omri Casspi restera comme une légende du basket-ball israélien, et comme un exemple pour les générations futures.
Ariel Sharon est l’un des personnages les plus marquants de l’histoire d’Israël. Général de renom, ministre de plusieurs portefeuilles, fondateur du parti Kadima et Premier ministre de 2001 à 2006, il a joué un rôle clé dans les guerres israélo-arabes, la politique de colonisation et […]
IsraëlAriel Sharon est l’un des personnages les plus marquants de l’histoire d’Israël. Général de renom, ministre de plusieurs portefeuilles, fondateur du parti Kadima et Premier ministre de 2001 à 2006, il a joué un rôle clé dans les guerres israélo-arabes, la politique de colonisation et le retrait unilatéral de la bande de Gaza. Il est aussi l’un des dirigeants israéliens les plus controversés, accusé de responsabilité indirecte dans le massacre de Sabra et Chatila et de provoquer la seconde Intifada par sa visite sur l’esplanade des Mosquées. Retour sur la vie et l’œuvre d’Ariel Sharon, surnommé “Arik”, “le Lion du désert” ou encore “le Bulldozer”.
Ariel Sharon est né le 26 février 1928 à Kfar Malal, un village agricole situé au nord de Tel-Aviv, dans la Palestine sous mandat britannique. Ses parents sont des immigrants juifs originaires de Biélorussie, qui ont fui les pogroms et l’antisémitisme en Europe. Ariel grandit dans une atmosphère sioniste et nationaliste, bercé par les récits de son père sur les combats contre les Arabes et les Britanniques. Il reçoit une éducation religieuse et apprend l’hébreu, le yiddish et le russe.
Voici une vidéo présentant cet homme politique :
Dès son adolescence, il s’engage dans la lutte pour la création d’un État juif. Il rejoint la Haganah, l’organisation paramilitaire juive, à l’âge de 14 ans. Il participe à des opérations de sabotage et de renseignement contre les forces britanniques et arabes. En 1947, il devient commandant d’une section de la brigade Alexandroni, qui combat pendant la guerre israélo-arabe de 1948-1949. Il est blessé à plusieurs reprises au cours du conflit, qui aboutit à la proclamation de l’indépendance d’Israël.
Après la guerre, Ariel Sharon poursuit sa carrière militaire au sein de l’armée israélienne. Il se distingue par son audace, son charisme et son sens tactique. Il est le fondateur et le chef de l’unité 101, une unité spéciale chargée de mener des raids de représailles contre les infiltrations arabes en Israël. En 1953, il dirige l’opération Shoshana, qui fait plus de 60 morts dans le village jordanien de Qibya. L’attaque provoque un tollé international et est condamnée par l’ONU.
En 1956, il participe à la guerre de Suez aux côtés des forces françaises et britanniques. Il commande une brigade parachutiste qui traverse le désert du Sinaï et atteint le canal de Suez. Il est décoré pour son exploit militaire. En 1967, il est nommé général et prend le commandement du front sud lors de la guerre des Six Jours. Il joue un rôle décisif dans la conquête du Sinaï égyptien.
En 1973, il est rappelé du service actif pour participer à la guerre du Kippour. Il commande une division blindée qui traverse le canal de Suez et encercle la troisième armée égyptienne. Il contribue ainsi à renverser le cours de la guerre en faveur d’Israël. Il devient un héros national et acquiert une grande popularité.
Après sa retraite militaire en 1974, Ariel Sharon se lance dans la politique. Il cofonde le parti Likoud, qui rassemble les forces nationalistes et conservatrices opposées au Parti travailliste. Il est élu député à la Knesset en 1977 et devient ministre de l’Agriculture dans le gouvernement de Menahem Begin. Il est le principal promoteur de la politique de colonisation des territoires occupés en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Il affirme que ces territoires font partie du “Grand Israël” et qu’ils sont nécessaires à la sécurité d’Israël.
En 1981, il devient ministre de la Défense. Il est l’architecte de l’invasion du Liban en 1982, qui vise à chasser l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) de Beyrouth. L’opération, baptisée “Paix en Galilée”, se transforme en une guerre longue et coûteuse, qui fait des milliers de victimes civiles. En septembre 1982, Ariel Sharon est impliqué dans le massacre de Sabra et Chatila, un camp de réfugiés palestiniens à Beyrouth, où des milices chrétiennes libanaises alliées à Israël tuent entre 800 et 3 500 personnes. Une commission d’enquête israélienne conclut à la responsabilité indirecte d’Ariel Sharon, qui aurait laissé faire les massacres. Il est contraint de démissionner de son poste de ministre de la Défense.
Ariel Sharon reste cependant un acteur influent de la scène politique israélienne. Il occupe plusieurs postes ministériels dans les gouvernements successifs du Likoud, notamment celui des Affaires étrangères de 1998 à 1999. Il continue à soutenir la colonisation et à s’opposer aux accords de paix avec les Palestiniens.
En 1999, Ariel Sharon devient le chef du Likoud, après la défaite du Premier ministre Benyamin Netanyahou face au travailliste Ehud Barak. En septembre 2000, il provoque un séisme politique en se rendant sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, un lieu saint pour les musulmans et les juifs, accompagné d’un important dispositif sécuritaire. Sa visite est perçue comme une provocation par les Palestiniens, qui déclenchent la seconde Intifada, une révolte populaire contre l’occupation israélienne.
En février 2001, Ariel Sharon remporte largement l’élection au poste de Premier ministre face à Ehud Barak. Il forme un gouvernement d’union nationale avec le Parti travailliste. Il adopte une ligne dure face à l’Intifada, qu’il réprime par la force militaire. Il ordonne l’assassinat du chef du Hamas Ahmed Yassine en 2004 et le retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza en 2005. Il rompt avec le Likoud et fonde le parti Kadima, qui se veut centriste et pragmatique.
En janvier 2006, Ariel Sharon est victime d’une grave attaque cérébrale qui le plonge dans le coma. Il est remplacé par son adjoint Ehud Olmert, qui remporte les élections législatives de mars 2006. Ariel Sharon reste dans le coma jusqu’à sa mort, le 11 janvier 2014.
Ariel Sharon laisse derrière lui un bilan contrasté. Il est considéré par ses partisans comme un grand homme d’État, qui a défendu les intérêts d’Israël avec courage et détermination. Il est salué pour avoir pris des décisions difficiles, comme le retrait de Gaza ou la création du parti Kadima, qui ont ouvert la voie à une possible solution au conflit israélo-palestinien.
Il est en revanche détesté par ses adversaires, qui lui reprochent ses crimes de guerre, sa politique expansionniste et son mépris du droit international. Il est vu comme un obstacle à la paix et à la justice, qui a alimenté la haine et la violence entre les peuples. Il est surnommé “le Boucher de Beyrouth” par les Arabes et “le Roi d’Israël” par ses détracteurs israéliens.
Ariel Sharon reste une figure emblématique et controversée de l’histoire d’Israël. Il a marqué son époque par sa personnalité forte, son parcours exceptionnel et ses choix stratégiques. Il a changé le visage d’Israël et influencé le destin du Moyen-Orient.
Le 7 octobre 2023 restera comme une date noire dans l’histoire d’Israël. Ce jour-là, le mouvement islamiste du Hamas a lancé une attaque surprise contre le territoire israélien, faisant des dizaines de morts et de blessés parmi les civils et les militaires. Une attaque qui […]
Actualité IsraëlLe 7 octobre 2023 restera comme une date noire dans l’histoire d’Israël. Ce jour-là, le mouvement islamiste du Hamas a lancé une attaque surprise contre le territoire israélien, faisant des dizaines de morts et de blessés parmi les civils et les militaires. Une attaque qui a révélé les failles de la sécurité et du renseignement israéliens, mais aussi l’incurie du gouvernement dirigé par Benyamin Netanyahu, le Premier ministre le plus longtemps au pouvoir dans le pays.
Benyamin Netanyahu, surnommé “Bibi”, est né en 1949 à Tel Aviv. Il est le fils de Benzion Netanyahu, un historien sioniste et militant du mouvement révisionniste de Zeev Jabotinsky. Il passe une partie de son enfance aux États-Unis, où il acquiert la maîtrise de l’anglais et un goût pour la politique. Il effectue son service militaire dans l’unité d’élite Sayeret Matkal, où il participe à plusieurs opérations secrètes, dont l’opération Entebbe en 1976, qui libère des otages d’un avion détourné par des terroristes.
Il entame ensuite une carrière diplomatique, qui le conduit à être ambassadeur d’Israël aux Nations unies de 1984 à 1988. Il se lance ensuite dans la politique intérieure, en rejoignant le Likoud, le parti de droite nationaliste. Il devient député en 1988, puis ministre des Affaires étrangères en 1996. La même année, il est élu Premier ministre pour la première fois, à la tête d’une coalition de droite et de religieux. Il mène une politique dure face aux Palestiniens, tout en acceptant de signer les accords de Wye Plantation avec Yasser Arafat en 1998, qui prévoient un retrait partiel d’Israël de la Cisjordanie.
Il perd les élections de 1999 face à Ehud Barak, du Parti travailliste, et se retire temporairement de la vie politique. Il revient en 2002 comme ministre des Affaires étrangères, puis des Finances, sous le gouvernement d’Ariel Sharon. Il démissionne en 2005 pour protester contre le plan de retrait unilatéral de Gaza. Il reprend la tête du Likoud en 2006 et devient chef de l’opposition.
Voici une vidéo présentant cet homme politique :
En 2009, il est à nouveau élu Premier ministre, à la tête d’une coalition hétéroclite qui rassemble la droite, les religieux et les centristes. Il se maintient au pouvoir malgré plusieurs crises politiques et sociales, en jouant sur sa popularité et sa réputation de “Monsieur Sécurité”. Il se rapproche de l’extrême droite et des colons, tout en s’opposant fermement à l’Iran et à son programme nucléaire. Il noue aussi des relations inédites avec plusieurs pays arabes, comme les Émirats arabes unis ou le Bahreïn.
En 2019, il est mis en examen pour corruption, fraude et abus de confiance dans trois affaires différentes. Il nie les faits qui lui sont reprochés et dénonce une “chasse aux sorcières” orchestrée par ses ennemis politiques et les médias. Il reste au pouvoir malgré quatre élections législatives successives qui n’ont pas permis de dégager une majorité claire au Parlement. En décembre 2022, il forme un gouvernement avec son rival Benny Gantz, du parti centriste Bleu-Blanc, dans le cadre d’un accord de rotation qui prévoit qu’il cède le poste de Premier ministre à Gantz après 18 mois.
Le Hamas est un mouvement islamiste palestinien qui contrôle la bande de Gaza depuis 2007, après avoir évincé le Fatah, le parti laïc et modéré du président Mahmoud Abbas. Le Hamas est considéré comme une organisation terroriste par Israël, les États-Unis et l’Union européenne. Il prône la destruction d’Israël et la création d’un État islamique sur toute la Palestine historique.
Le Hamas a mené plusieurs attaques contre Israël, notamment des tirs de roquettes et des attentats-suicides. Israël a riposté par des opérations militaires, comme l’opération Plomb durci en 2008-2009, l’opération Pilier de défense en 2012 ou l’opération Bordure protectrice en 2014, qui ont fait des milliers de morts et de blessés, principalement des civils palestiniens.
Le 7 octobre 2023, le Hamas a lancé une attaque d’une ampleur inédite contre Israël, en utilisant des drones kamikazes chargés d’explosifs. Les drones ont visé des cibles stratégiques, comme des bases militaires, des centrales électriques, des aéroports ou des installations nucléaires. L’attaque a surpris les défenses israéliennes, qui n’ont pas réussi à intercepter tous les drones. Le bilan est lourd : plus de 200 morts et 500 blessés côté israélien, dont des soldats, des politiciens et des personnalités publiques.
Les causes de l’attaque du Hamas sont multiples. D’une part, le Hamas a voulu profiter de la faiblesse du gouvernement israélien, divisé et affaibli par les scandales de corruption impliquant Netanyahu. D’autre part, le Hamas a voulu réagir à la normalisation des relations entre Israël et certains pays arabes, qu’il considère comme une trahison de la cause palestinienne. Enfin, le Hamas a voulu démontrer sa capacité à frapper Israël malgré le blocus imposé par ce dernier à Gaza depuis 2007.
L’attaque du Hamas a provoqué un choc et une colère en Israël. Le pays se sent vulnérable et trahi par son gouvernement, qui n’a pas su assurer sa sécurité. La population réclame des comptes et des sanctions contre les responsables de ce qu’elle considère comme un désastre national.
Netanyahu est le premier visé par les critiques. Il est accusé d’avoir négligé les questions de défense et les problèmes de Gaza au profit d’une révision de la justice israélienne destinée à échapper aux procès qui le concernent. Il est aussi reproché d’avoir affaibli l’armée et les services de renseignement en les soumettant à son agenda politique. Il est enfin soupçonné d’avoir ignoré les alertes lancées peu avant la tragédie.
Netanyahu refuse d’assumer sa responsabilité et rejette la faute sur ses adversaires politiques, sur les médias ou sur les juges. Il affirme que son gouvernement a agi avec détermination et courage face au Hamas et qu’il continuera à défendre Israël contre ses ennemis. Il appelle à l’unité nationale et au soutien à l’armée, qui mène une opération terrestre à Gaza pour détruire le Hamas.
Mais son discours ne convainc pas. L’opposition réclame sa démission immédiate et la formation d’un gouvernement d’union nationale. Les manifestations se multiplient dans les rues pour exiger son départ. Les sondages montrent que sa popularité est en chute libre. Même au sein de son propre parti, le Likoud, des voix s’élèvent pour demander son remplacement.
Netanyahu est-il sur le point de tomber ? Rien n’est moins sûr. Le Premier ministre israélien a montré par le passé sa capacité à survivre aux crises politiques et à rebondir. Il dispose encore d’une base électorale fidèle et d’alliés solides au sein de la coalition gouvernementale. Il peut aussi compter sur le soutien indéfectible du président américain Donald Trump, qui lui a exprimé sa solidarité et son amitié.
Mais il est clair que Netanyahu traverse la période la plus difficile de sa carrière politique.