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ActualitéCes dernières années, la technologie a contribué à accroître l’accessibilité pour les personnes handicapées. Du développement de trottoirs adaptés aux fauteuils roulants aux progrès des appareils d’assistance, l’utilisation de la technologie numérique pour améliorer la vie des personnes handicapées est devenue de plus en plus […]
UncategorizedCes dernières années, la technologie a contribué à accroître l’accessibilité pour les personnes handicapées. Du développement de trottoirs adaptés aux fauteuils roulants aux progrès des appareils d’assistance, l’utilisation de la technologie numérique pour améliorer la vie des personnes handicapées est devenue de plus en plus répandue. Ces progrès ont créé toute une série d’opportunités pour les personnes handicapées, allant d’un meilleur accès à l’éducation et à l’emploi à des niveaux plus élevés d’indépendance et d’autonomie. Dans le même temps, il reste de nombreux défis à relever pour permettre aux personnes handicapées de participer pleinement à la société.
Voici comment les handicapés sont accompagnés :
Les employeurs manquent souvent de politiques claires sur l’embauche de personnes handicapées ainsi que de ressources adéquates pour répondre à leurs besoins. Il est donc essentiel que les entreprises adoptent les technologies numériques pour mieux soutenir les personnes vivant avec un handicap physique ou mental et assurer leur pleine participation à la société. Le digital joue aujourd’hui un rôle important dans le développement de chaque entreprise. Des professionnels comme Michele Tecchia, cherchent à développer de nouvelles techniques pour garantir des stratégies plus efficaces. De telles initiatives contribueront à promouvoir un sentiment d’inclusion tout en sensibilisant les employeurs aux avantages que les personnes handicapées peuvent apporter à leur organisation.
Le handicap est depuis longtemps reconnu comme un moteur de l’innovation dans de nombreux domaines, de la technologie médicale et des appareils fonctionnels à l’électronique grand public. Si l’on prend l’exemple de la télécommande, elle a été développée comme une forme de compensation pour les personnes handicapées physiques qui ne pouvaient pas se déplacer facilement. Bien qu’elle ait été initialement conçue à cette fin, son application s’est rapidement étendue au-delà de ce cas d’utilisation spécifique, pour devenir finalement omniprésente dans la vie quotidienne. Cela démontre que même de petites innovations peuvent être utilisées par des personnes non handicapées pour rendre leur vie plus facile et plus confortable.
Plus récemment, l’essor des technologies numériques a révolutionné la manière dont les personnes handicapées peuvent interagir avec le monde qui les entoure. Des assistants virtuels à commande vocale aux applications de réalité augmentée qui fournissent des aides visuelles, il existe désormais toute une série d’outils pour aider les personnes handicapées à retrouver un certain degré d’autonomie et d’indépendance. Ces mêmes technologies sont également adoptées par les utilisateurs non handicapés qui veulent profiter des hauts niveaux de commodité qu’elles offrent. De cette façon, le handicap est devenu une impulsion majeure pour les nouvelles innovations et les progrès technologiques sur de nombreux fronts.
À l’ère du numérique, les personnes handicapées sont toujours confrontées à des obstacles majeurs lorsqu’elles tentent d’accéder aux expériences numériques. Ces obstacles peuvent conduire à une stigmatisation et une aliénation accrues, ce qui rend difficile pour les personnes handicapées de profiter des mêmes opportunités que leurs pairs non handicapés.
Pour réduire cette stigmatisation et promouvoir l’inclusion, les entreprises doivent se concentrer sur la création d’expériences numériques inclusives qui renforcent l’autonomie des personnes handicapées et les font se sentir bienvenues. Cela signifie qu’il faut tenir compte des besoins en matière d’accessibilité sur toutes les plateformes, comme les sites Web et les applications mobiles, et veiller à ce que les lieux physiques soient accessibles par des rampes ou des ascenseurs. En outre, les employeurs devraient donner la priorité à l’embauche des personnes handicapées, afin de leur offrir un accès égal aux opportunités d’emploi.
Pour aider à créer un monde plus accessible pour les personnes handicapées, il existe plusieurs solutions technologiques. Par exemple, les lecteurs d’écran sont une application logicielle utilisée par les personnes malvoyantes ou aveugles qui leur permet de lire le texte sur des sites Web ou des applications grâce à un système de sortie vocale. De même, les systèmes de saisie vocale permettent aux utilisateurs qui ont des difficultés à taper au clavier en raison de handicaps physiques de naviguer dans les pages Web et les applications en utilisant des commandes vocales au lieu de la saisie de texte.
Ces technologies offrent également des fonctionnalités telles que des loupes et des réglages de contraste qui permettent aux personnes malvoyantes de mieux voir les pages Web. En intégrant ces technologies dans leurs infrastructures et solutions logicielles existantes, les entreprises peuvent contribuer à créer des expériences numériques plus équitables pour les personnes handicapées sans créer de stigmates supplémentaires ou de différences perçues entre les personnes valides et celles qui vivent avec un handicap.
Avec la prévalence sans cesse croissante de la technologie numérique dans le monde d’aujourd’hui, les personnes vivant avec un handicap se voient offrir une variété de moyens de sortir de l’ombre et de vivre une vie plus indépendante. En plus de rendre les appareils et les sites Web accessibles, les nouvelles avancées en matière de technologie d’assistance ont permis aux personnes souffrant de graves handicaps moteurs de profiter d’activités comme la marche, la course et même le sport. Malgré ces opportunités incroyables que le monde numérique offre aux personnes handicapées, la triste réalité est que nombre de ces produits et services ne trouvent souvent pas leur place sur le marché grand public en raison de leur coût élevé ou de leur manque de rentabilité.
Heureusement, des études récentes suggèrent que cette tendance pourrait être en train de changer, car de plus en plus d’entreprises commencent à réaliser les profits potentiels qu’elles peuvent obtenir en fournissant des produits et services adaptés spécifiquement aux personnes handicapées. Cela permet non seulement de dégager des bénéfices économiques, mais aussi d’apporter de l’espoir à ceux qui ont été exclus de la participation aux activités quotidiennes en raison de leur état. En outre, de nombreux gouvernements imposent désormais des lois visant à rendre tous les produits plus accessibles en utilisant une variété de normes et de directives différentes. Ces initiatives législatives représentent un énorme pas en avant dans la promotion de l’inclusion des personnes touchées par un handicap.
Créer une entreprise n’est jamais une tâche facile, mais cela devient encore plus difficile si vous êtes handicapé. Malgré les obstacles qui peuvent se présenter, il existe de nombreuses ressources accessibles aux entrepreneurs handicapés qui peuvent contribuer à la réussite de leurs projets. Qu’il s’agisse […]
UncategorizedCréer une entreprise n’est jamais une tâche facile, mais cela devient encore plus difficile si vous êtes handicapé. Malgré les obstacles qui peuvent se présenter, il existe de nombreuses ressources accessibles aux entrepreneurs handicapés qui peuvent contribuer à la réussite de leurs projets. Qu’il s’agisse de subventions et de sources de financement, de programmes de formation spécialisés ou de services de conseil, ces aides apportent un soutien essentiel au cours du processus de création ou de reprise d’une entreprise. Pour les entrepreneurs comme Jean-Pierre Valentini, ces soutiens constituent un excellent moyen de se développer efficacement.
Grâce à ces outils, les entrepreneurs handicapés peuvent surmonter les défis qui leur sont propres et créer des entreprises saines ayant de meilleures chances de réussite. Il est également important de profiter des programmes de prêts destinés aux personnes handicapées, car ils offrent des conditions et des taux d’intérêt favorables.
Voici une vidéo parlant de ces aides :
En établissant un réseau avec d’autres entrepreneurs handicapés et des professionnels dans des domaines similaires, on peut avoir accès à des conseils et à une orientation inestimables qui peuvent être déterminants pour créer ou gérer une entreprise commerciale prospère. En fin de compte, avec les bonnes ressources disponibles sur place et la volonté de réussir, tout entrepreneur handicapé peut créer une entreprise qui sera prospère pendant des années !
L’AGEFIPH (Association de gestion de l’emploi, de la formation et de l’insertion des personnes handicapées) apporte une aide financière aux auto-entrepreneurs handicapés sous forme de subventions. Ces subventions sont accordées en fonction du type d’activité ainsi que d’autres critères préétablis. L’AGEFIPH prend également en considération les besoins physiques des personnes handicapées et peut financer les adaptations nécessaires des locaux ou des équipements qui doivent être faites pour qu’ils soient adaptés aux personnes ayant des besoins particuliers. Pour bénéficier de ces services, l’entrepreneur doit posséder au moins 50 % du capital de son entreprise.
En fournissant ce soutien financier, l’AGEFIPH contribue à créer un environnement inclusif où tous les entrepreneurs peuvent prospérer, quel que soit leur niveau d’aptitude. Cela contribue à réduire les obstacles économiques auxquels sont confrontés les personnes handicapées qui cherchent à créer leur propre entreprise et qui n’ont souvent pas accès aux fonds ou aux ressources nécessaires. Le financement fourni par l’AGEFIPH permet aux entreprises appartenant à des personnes handicapées d’investir dans l’équipement et les rénovations nécessaires à leur réussite, améliorant ainsi leurs chances de succès dans leur entreprise. Les contributions apportées par ce programme aident non seulement les entrepreneurs handicapés à atteindre l’indépendance financière, mais favorisent également une meilleure intégration des personnes handicapées dans la société.
L’allocation adulte handicapé (AAH) est une prestation importante pour les personnes handicapées vivant en France. Elle apporte une aide financière à ceux dont les revenus ne dépassent pas un certain plafond fixé par l’État. Cette allocation est accessible aux personnes dès l’âge de 16 ans si elles ne sont plus à la charge de leurs parents, bien que 20 ans soit l’âge minimum habituellement requis. Pour bénéficier de l’AAH, il faut être de nationalité française, résider en France métropolitaine ou dans les DOM-TOM et avoir un taux d’incapacité d’au moins 80 %, ou de 50 à 79 ans pour ceux dont l’accès à l’emploi est restreint. Le montant de cette subvention pour les travailleurs indépendants handicapés varie en fonction du degré d’invalidité et des autres sources de revenus.
Pour demander l’AAH, les demandeurs doivent fournir des documents prouvant leur résidence, tels qu’un passeport ou une carte d’identité en cours de validité ; une preuve de leur handicap sous la forme d’une attestation d’un professionnel de la santé ; et des preuves supplémentaires montrant que leur revenu total ne dépasse pas le plafond imposé. Une fois l’AAH approuvée, les bénéficiaires recevront une allocation mensuelle qui pourra être utilisée pour couvrir les besoins essentiels tels que les frais de logement, les frais de transport et les factures médicales.
Le programme peut proposer des services de soutien supplémentaires, comme une aide à la recherche d’un emploi ou l’accès à des possibilités d’éducation spécifiquement adaptées aux personnes handicapées. En fin de compte, l’AAH peut apporter un soulagement et une stabilité bien nécessaires pendant les périodes difficiles tout en aidant les personnes handicapées à atteindre une plus grande indépendance et une meilleure qualité de vie.
Le programme Aide à la Création ou à la Reprise d’Entreprise (ACRE) est un excellent moyen pour les entrepreneurs de moins de 30 ans d’économiser de l’argent pendant la première année d’activité. Grâce à l’ACRE, ces personnes peuvent bénéficier d’une exonération nulle, totale ou dégressive de leurs charges sociales en fonction de leur niveau de revenu. Ceux dont les revenus sont inférieurs à 30 852 euros ont droit à une exonération totale tandis que ceux qui gagnent entre ce montant et 41 136 euros bénéficient d’une exonération dégressive. Malheureusement, les auto-entrepreneurs dont les revenus sont supérieurs à 41 136 euros ne sont pas éligibles à ce programme.
Ce programme présente de nombreux avantages pour les jeunes entrepreneurs qui peuvent avoir des difficultés financières ou se sentir dépassés par la création de leur propre entreprise. En réduisant leurs charges sociales, ils peuvent consacrer plus d’énergie à faire décoller leur entreprise sans se soucier autant de la charge financière.
De plus, cela leur permet d’investir plus de temps dans les efforts de marketing et de réseautage qui peuvent contribuer à la croissance et à la promotion de leur entreprise. En outre, cela réduit le risque associé à l’entrepreneuriat et contribue à encourager davantage de jeunes à saisir les opportunités d’un travail indépendant. En fin de compte, ACRE constitue une ressource inestimable pour les personnes qui cherchent à créer ou à reprendre une entreprise de leur propre chef.
Investir dans l’immobilier peut être un excellent moyen de générer un revenu passif régulier, mais il est important de comprendre les risques potentiels ainsi que les avantages d’investir dans ce secteur. La Corse est une destination idéale pour les investisseurs qui cherchent à saisir des […]
FranceInvestir dans l’immobilier peut être un excellent moyen de générer un revenu passif régulier, mais il est important de comprendre les risques potentiels ainsi que les avantages d’investir dans ce secteur. La Corse est une destination idéale pour les investisseurs qui cherchent à saisir des opportunités grâce à son paysage magnifique, son régime fiscal favorable et l’abondance de ses ressources naturelles. Jean-Pierre Valentini, qui est né dans cette belle région, peut témoigner de tout le potentiel de la Corse. D’ailleurs cet homme d’affaires y a divers biens immobiliers.
Malgré cela, il y a certains aspects à prendre en compte lors d’un investissement en Corse, comme les niveaux élevés de tourisme et le potentiel locatif limité, qui doivent être pris en compte avant de prendre une décision. Cet article explore les avantages l’investissement immobilier en Corse, en détaillant les meilleurs emplacements pour les investisseurs potentiels.
Voici une vidéo parlant de l’investissement immobilier en Corse :
Ajaccio est la plus grande ville de l’île et est connue pour ses nombreux sites historiques tels que la maison ancestrale de Napoléon Bonaparte et le Palais Fesch, qui abrite une impressionnante collection d’art de toutes les périodes de l’histoire. Ajaccio possède également certaines des meilleures plages d’Europe, ce qui en fait un lieu idéal pour l’achat d’une propriété pour ceux qui cherchent à vivre ou à passer des vacances le long de la côte méditerranéenne étincelante. Bastia a acquis la réputation d’être l’une des villes les plus pittoresques de l’île, avec ses bâtiments aux couleurs vives et ses rues étroites et pavées qui serpentent dans la ville. L’atmosphère y est à la fois animée et paisible, ce qui en fait un lieu idéal pour ceux qui recherchent un style de vie détendu associé à des boutiques, des cafés et des restaurants attrayants.
Calvi est une autre ville pleine de charme située autour d’une baie magnifique flanquée de montagnes de chaque côté. Les investisseurs peuvent y trouver des vues magnifiques sur des plages de sable doré ou simplement s’asseoir dans l’un des nombreux bars ou restaurants de Calvi pour déguster une délicieuse cuisine locale tout en admirant de magnifiques vues sur la baie. Plus au sud, Porto-Vecchio est connue comme l’une des stations balnéaires les plus en vogue au monde, grâce à ses villas luxueuses dotées de piscines à débordement et donnant sur des eaux cristallines qui clapotent doucement sur les rivages de sable blanc. Ce cadre idyllique rend les investissements immobiliers particulièrement attrayants pour ceux qui cherchent à posséder de superbes propriétés sur des îles pittoresques comme la Corse.
Investir dans l’immobilier en Corse offre une opportunité unique pour ceux qui cherchent à construire leur patrimoine et à assurer la sécurité financière de leur famille. Avec sa gamme diversifiée d’attractions, des plages magnifiques aux campagnes préservées et aux villes dynamiques, l’île de Beauté a quelque chose à offrir à chacun. De plus, les prix de l’immobilier sont nettement inférieurs à ceux des autres régions côtières de France, comme la Côte d’Azur, souvent jusqu’à quatre fois moins chers. Cela est particulièrement vrai si vous recherchez une propriété que vous pouvez rénover, car les prix peuvent être encore plus bas.
Non seulement les prix de l’immobilier en Corse sont plus attractifs que dans d’autres régions de France, mais l’environnement économique et fiscal en fait également un endroit idéal pour placer votre argent. Outre le potentiel de constitution d’un patrimoine ou d’accroissement de l’épargne, les investisseurs peuvent bénéficier de dispositions fiscales parmi les plus favorables d’Europe. Par exemple, l’impôt sur les plus-values des propriétés résidentielles n’est que de 7 %, et aucun droit de succession n’est imposé sur les successions inférieures à 1 million d’euros ; de plus, tout revenu locatif perçu est également soumis à des niveaux d’imposition favorables par rapport à d’autres pays européens. Cela signifie que l’investissement dans l’immobilier en Corse offre non seulement une sécurité financière, mais vous permet également de profiter de dispositions fiscales attrayantes qui rendent l’investissement immobilier d’autant plus gratifiant.
Le dispositif Pinel offre une opportunité intéressante à ceux qui cherchent à investir dans l’immobilier en Corse. Cette loi permet aux propriétaires éligibles de bénéficier d’importants avantages fiscaux, avec une exonération potentielle allant jusqu’à 21% sur leurs revenus locatifs. Pour bénéficier de cette subvention, les demandeurs doivent s’engager à louer leurs biens pendant au moins six ans. Par ailleurs, la préfecture d’Ajaccio est classée en zone A, tout comme Bonifacio et Porto-Vecchio, tandis que les autres villes de Haute-Corse sont classées en zone B1.
Ces avantages généreux sont particulièrement intéressants pour ceux qui cherchent à investir à long terme dans l’immobilier. Cependant, il peut y avoir certaines restrictions ou critères d’éligibilité qui doivent être remplis avant de faire une demande. Par exemple, les propriétaires doivent s’assurer que leurs bâtiments sont conformes à toutes les règles de construction et normes de sécurité avant de profiter des avantages fiscaux offerts par le dispositif Pinel.
De plus, ils doivent se familiariser avec toutes les autres lois locales applicables qui pourraient potentiellement affecter leurs décisions d’investissement. En définitive, en étudiant ces facteurs de manière approfondie avant d’investir dans l’immobilier en Corse et de profiter du dispositif Pinel, les investisseurs peuvent maximiser le bénéfice potentiel associé à leurs achats immobiliers.
L’armée de l’air israélienne (IAF) et la Force aérienne et spatiale française (FASF) ont organisé cette semaine un exercice aérien conjoint au-dessus du ciel d’Israël, simulant des frappes et combattant les menaces aériennes. Baptisé « Eastern Breeze », l’exercice a vu quatre avions de combat Rafale de […]
Actualité FranceL’armée de l’air israélienne (IAF) et la Force aérienne et spatiale française (FASF) ont organisé cette semaine un exercice aérien conjoint au-dessus du ciel d’Israël, simulant des frappes et combattant les menaces aériennes. Baptisé « Eastern Breeze », l’exercice a vu quatre avions de combat Rafale de la FASF voler aux côtés d’avions F-16i de l’IAF au-dessus d’Israël.
L’exercice faisait partie d’une série d’exercices militaires internationaux qui ont eu lieu cette année afin de se préparer aux menaces potentielles de l’Iran et d’autres ennemis dans la région.
Les Forces de défense israéliennes (FDI) ont annoncé l’opération militaire conjointe mardi, confirmant qu’il aurait lieu entre l’IAF et les FASF dans le cadre d’une série continue d’exercices internationaux.
Voici une vidéo en anglais relatant cette nouvelle :
Les FDI ont déclaré que ces exercices ont pour but de se préparer aux menaces potentielles de l’Iran et de ses mandataires terroristes régionaux, soulignant leur importance pour la sécurité nationale.
Les avions des FASF sont arrivés sur un groupe d’attaque de porte-avions de la marine française en Méditerranée avant de s’engager dans l’exercice au-dessus du ciel d’Israël.
Ce groupe d’attaque de porte-avions était composé de plusieurs navires, dont des frégates, des croiseurs et des destroyers qui avaient été déployés dans le cadre de l’opération Chammal, une opération militaire française menée en Irak depuis 2014 dans le but de lutter contre ISIS.
Au cours de la simulation, les deux forces aériennes se sont concentrées sur l’affinement de leurs compétences lorsqu’il s’agit de mener des frappes aériennes contre des menaces potentielles provenant de milices soutenues par l’Iran ou d’autres ennemis dans la région qui pourraient constituer une menace pour la sécurité nationale d’Israël.
L’exercice comprenait également des exercices de formation visant à détecter les avions ennemis et à pratiquer des tactiques de défense telles que des manœuvres d’évasion.
Contrairement à l’exercice conjoint avec les États-Unis de la semaine dernière, qui simulait des frappes contre l’Iran et ses mandataires terroristes régionaux, cet exercice s’est limité à des frappes aériennes contre des ennemis hypothétiques, sans viser spécifiquement un pays ou un groupe particulier.
En outre, alors que l’exercice de la semaine dernière comprenait des avions de chasse américains opérant en dehors de l’espace aérien israélien, cette fois, seuls des avions français ont été impliqués dans le survol du territoire israélien.
L’objectif principal de l’exercice Eastern Breeze était d’accroître l’interopérabilité entre les équipages de l’IAF et leurs homologues des FASF par le biais de missions d’entraînement conçues pour tester leurs capacités de coordination face à différents types de menaces aériennes.
Grâce à des exercices réguliers comme ceux-ci, les deux forces aériennes peuvent accroître leur efficacité lorsqu’elles travaillent ensemble contre des adversaires du monde réel dans des situations potentiellement hostiles.
La France et Israël entretiennent depuis longtemps des liens politiques, économiques et militaires étroits. Récemment, dans un élan de solidarité, l’armée de l’air israélienne (IAF) et l’armée de l’air française ont effectué des exercices conjoints au-dessus du ciel israélien. Ces exercices ont permis de démontrer la solidité des relations entre les deux pays et leur engagement en faveur de la sécurité régionale. En outre, cette action intervient à un moment charnière, alors que les tensions entre Israël et le Liban, ancien protectorat français, sont en hausse. Cet article explore le contexte des relations France-Israël, donne une vue d’ensemble des exercices de frappe conjointe de l’IAF et de l’armée de l’air française, et examine l’impact que cet événement peut avoir sur la politique régionale
Cette semaine, un accord majeur a été signé entre deux nations qui étaient historiquement éloignées l’une de l’autre : Israël et les Émirats arabes unis. L’accord entre le Sheba Medical Center, le plus grand hôpital d’Israël, et G42 Healthcare d’Abu Dhabi établit une coopération stratégique […]
Israël SantéCette semaine, un accord majeur a été signé entre deux nations qui étaient historiquement éloignées l’une de l’autre : Israël et les Émirats arabes unis. L’accord entre le Sheba Medical Center, le plus grand hôpital d’Israël, et G42 Healthcare d’Abu Dhabi établit une coopération stratégique pour développer de nouvelles technologies de santé utilisant l’intelligence artificielle.
Cet accord monumental marque le premier développement majeur dans le domaine des technologies de la santé depuis les accords d’Abraham normalisant les liens diplomatiques entre Israël et les EAU en 2020.
Lundi de cette semaine, des responsables du Sheba Medical Center ont ratifié un protocole d’accord avec le G42 Healthcare d’Abu Dhabi pour construire conjointement une technologie de santé.
Voici une vidéo en anglais relatant cette nouvelle :
La cérémonie de signature a eu lieu à Abu Dhabi et a été suivie par le Dr Yoel Har Even, directeur du département international de Sheba, qui s’est exprimé lors de l’événement en déclarant qu’il s’agissait « de l’une des plus grandes étapes pour faire progresser la médecine depuis qu’Israël et les EAU ont normalisé leurs relations par le biais des accords d’Abraham de 2020. »
G42 Healthcare est une grande entreprise de technologie de la santé basée à Abu Dhabi, spécialisée dans le développement de la technologie de l’intelligence artificielle pour les solutions de soins de santé.
Fondée en 2017, G42 a beaucoup investi dans la recherche liée aux technologies de l’IA pour les applications de soins de santé telles que les diagnostics et la technologie de télésanté. Ce protocole d’accord avec le Sheba Medical Center leur fournira un partenaire précieux pour les aider à développer davantage ces innovations.
Le partenariat entre le Sheba Medical Center et G42 Healthcare promet d’apporter des avantages non seulement à leurs nations respectives, mais a également des implications internationales.
Non seulement il peut fournir un accès mutuel à des ressources qui pourraient autrement être difficiles ou coûteuses à obtenir, mais il peut également ouvrir des canaux pour le partage des connaissances, l’échange d’idées et la collaboration sur des projets qui peuvent aboutir à des avancées dans les soins médicaux à travers le monde.
Les opportunités potentielles créées par cet accord ne s’arrêtent pas là ; les deux parties souhaitent étendre leur coopération au-delà du simple développement des technologies de la santé.
Il est prévu de lancer des initiatives de recherche conjointes sur la médecine préventive ainsi que des collaborations sur des sujets tels que la formulation de politiques de santé publique, des programmes de formation conjoints pour les médecins et les infirmières et des échanges cliniques plus directs entre les hôpitaux des deux pays.
Cet accord n’est qu’une partie d’une tendance que nous avons observée ces dernières années, où les accords commerciaux ont pris le pas sur la politique lorsqu’il s’agit d’établir des relations entre des États qui étaient autrefois hostiles l’un envers l’autre.
L’histoire nous montre à quel point la coopération économique peut être puissante, permettant à des pays aux différences apparemment irréconciliables de partager des intérêts économiques communs, et cet accord est un autre exemple de ce pouvoir utilisé pour de bonnes causes, comme l’innovation dans la technologie des soins de santé ; le partage d’informations entre des professionnels qui, autrement, n’auraient peut-être jamais eu une telle opportunité.
Les accords d’Abraham ont permis la création de plus grandes opportunités de collaboration entre Israël et ses voisins du Moyen-Orient. Le partenariat entre le Sheba Medical Center et l’AITC illustre ce nouveau paradigme en fournissant un cadre pour la collaboration transfrontalière dans le domaine des soins de santé. Cet accord marque une étape importante dans le renforcement des relations bilatérales entre Israël et les EAU, puisque les deux pays sont désormais en mesure de profiter de l’expertise et des ressources de chacun pour développer des solutions visant à améliorer les résultats en matière de santé publique.
Har Even, PDG du Sheba Medical Center, a noté que « Israël a beaucoup à offrir à la région, notamment notre esprit d’entreprise et notre approche innovante, et nous pouvons apprendre et bénéficier des EAU, qui sont des leaders en matière d’IA et de production technologique. » Il a ajouté que cet accord est « une collaboration à double sens », les deux parties cherchant à partager leurs connaissances et leurs compétences l’une avec l’autre afin d’améliorer l’accès aux soins de santé dans leurs pays respectifs.
La coentreprise entre le Sheba Medical Center et l’AITC promet d’apporter de nombreuses avancées dans le domaine des technologies de la santé. La plateforme développée par ce partenariat permettra aux médecins d’accéder à des données en temps réel concernant les antécédents des patients ainsi qu’à des analyses prédictives qui pourraient les aider à prendre de meilleures décisions concernant les options de traitement pour chaque patient. Elle permettra également des consultations virtuelles entre spécialistes, ce qui pourrait potentiellement aider les personnes vivant dans des zones rurales ou sous-développées qui n’ont pas facilement accès à des services de santé de qualité.
En outre, il est prévu que le développement d’une telle plateforme pourrait conduire à une amélioration des capacités d’essais cliniques ainsi qu’à un meilleur accès aux opportunités de recherche clinique des deux côtés de la frontière. Elle pourrait même ouvrir la voie à des collaborations avec d’autres nations dans différentes régions, conduisant ainsi à des systèmes de soins de santé mondialisés plus robustes qui se concentrent sur la fourniture de soins équitables indépendamment des frontières géographiques ou des contextes socio-économiques.
Parfois, l’innovation se produit du jour au lendemain. Le lundi après le Big Bang de 1986, lorsque le marché a été déréglementé et est entré dans l’ère électronique, le bruit et l’agitation de la salle des marchés de la Bourse de Londres ont soudainement disparu et […]
FinanceParfois, l’innovation se produit du jour au lendemain. Le lundi après le Big Bang de 1986, lorsque le marché a été déréglementé et est entré dans l’ère électronique, le bruit et l’agitation de la salle des marchés de la Bourse de Londres ont soudainement disparu et tout était étrangement calme.
Parfois, il avance inaperçu avant de sembler omniprésent. Les crypto-monnaies comme le Bitcoin existent depuis plus d’une décennie, mais leur extrême volatilité a occulté la véritable révolution : la technologie blockchain qui les sous-tend. Bitcoin a prouvé que la blockchain fonctionne. Cette crypto-monnaie est aujourd’hui utilisée dans de nombreuses industries, même l’immobilier.
La technologie des registres distribués (DLT), dont la blockchain est une forme, est actuellement développée pour de nombreuses applications à travers le monde, notamment dans le domaine de la finance. Tout comme le passage au commerce électronique a fondamentalement changé le système financier il y a 35 ans, le DLT est sur le point de le révolutionner une fois de plus, avec de profondes implications pour les investisseurs.
DLT fournit un moyen sécurisé d’échanger des actifs et d’enregistrer ces transactions à plusieurs endroits en même temps, à l’aide d’un grand livre distribué. Ce registre est rendu pratiquement inviolable grâce à l’empreinte digitale cryptographique que les utilisateurs laissent, ainsi qu’aux protocoles de consensus qui décident de la légitimité de la transaction, tandis que les contrats intelligents, des codes exécutables par machine, sont automatiquement déclenchés pour s’exécuter pré- obligations contractuelles convenues. Ces facteurs peuvent éliminer le besoin d’intermédiaires, peuvent réduire le risque de contrepartie et, en fin de compte, devraient réduire les frais de transaction et les coûts d’exploitation.
Voici comment la blockchain est utilisée dans la finance :
Nous nous attendons donc à ce que le DLT perturbe de nombreuses parties du monde financier. Les banques modifient déjà leur infrastructure de négociation et le type d’actifs qu’elles négocient. Les fournisseurs de services de garde et les bourses développent de nouveaux processus de compensation et de règlement pour s’adapter aux « nouveaux » actifs numériques créés sur le DLT et pour faire face à certains des risques potentiels, ce qui signifie que les investisseurs peuvent accéder plus facilement à un plus large éventail de diversificateurs potentiels et de sources de rendement.
De nombreux actifs numériques ne seront en fait pas nouveaux. Ce seront simplement des moyens alternatifs de faire ce que le trading et l’investissement ont toujours fait : transférer le capital là où il génère les meilleurs rendements financiers et non financiers avec le moins de friction possible.
L’un des aspects les plus excitants des actifs numériques est qu’ils offriront aux investisseurs un degré de personnalisation beaucoup plus élevé du type de fonds, de la taille de l’investissement, de la géographie et du thème, que les fonds communs de placement traditionnels ne le font actuellement. C’est grâce à leur conception et à la conception de l’infrastructure qui se trouve en dessous, qui pourrait un jour créer une plateforme d’investissement mondiale. Les investisseurs pourront sélectionner et choisir les composants qui leur conviennent à une échelle qu’ils peuvent se permettre.
Disposer d’une infrastructure mutualisée, telle qu’un registre commun entre un gestionnaire d’actifs et une banque ou entre un assureur et une entité non financière, pourrait également supprimer de nombreuses frictions technologiques et administratives, en particulier lors de l’exécution de transactions transfrontalières sur plusieurs types de titres. . De plus, cette infrastructure partagée accélérerait et simplifierait les rapports aux parties prenantes et fournirait aux régulateurs une piste d’audit facilement accessible.
Par exemple, un client intégré en toute sécurité par une entité serait automatiquement autorisé à opérer avec d’autres sur le grand livre, peu importe où ils se trouvaient. Les appétits individuels pour le risque pourraient être évalués à l’aide de données réelles, par exemple en examinant le type de transactions qu’un client effectue, la complexité de ses investissements existants ou la façon dont il dépense réellement de l’argent, au lieu de se fier aux questionnaires typiques utilisés pour évaluer le niveau de risque. Cela pourrait ouvrir l’investissement à de nouveaux participants ou offrir de nouvelles opportunités d’investissement aux participants existants.
Des crypto-monnaies aux actifs privés tokenisés, les actifs numériques peuvent profiter aux portefeuilles des investisseurs grâce à une corrélation potentiellement plus faible avec les instruments cotés en bourse. Cette corrélation plus faible est importante, car à une époque où les taux d’intérêt sont encore bas, le niveau de diversification offert par les actifs publics traditionnellement « sûrs » tels que les obligations d’État ont été réduits.
Après une évolution historique des valorisations, de nombreux investisseurs cherchent désormais à recycler les bénéfices dans des domaines qui peuvent encore bien performer au cours de la prochaine décennie ou qui sont moins corrélés aux marchés publics, sinon nécessairement moins volatils. Les actifs numériques sont souvent moins corrélés et pourraient aider à cet égard, tandis que leur infrastructure peut offrir de nouvelles sources de revenus pour renforcer les rendements inférieurs des investissements traditionnels.
Israël est célèbre en tant que nation start-up, un endroit à la pointe de l’invention et de l’innovation technologiques. De nombreuses inventions israéliennes ont changé le monde et de nouvelles technologies sortent tout le temps du pays. Voici un aperçu de certaines des plus grandes innovations d’Israël. […]
Innovation IsraëlIsraël est célèbre en tant que nation start-up, un endroit à la pointe de l’invention et de l’innovation technologiques. De nombreuses inventions israéliennes ont changé le monde et de nouvelles technologies sortent tout le temps du pays. Voici un aperçu de certaines des plus grandes innovations d’Israël.
L’intercepteur de missiles et de roquettes Iron Dome a été développé en 2007 et est le seul système de ce type. Il a été élu innovation la plus influente d’Israël dans une enquête spéciale réalisée pour célébrer le 70e anniversaire d’Israël. L’Iron Dome a été développé par un certain nombre d’entreprises différentes et le ministère de la Défense travaillant ensemble.
Voici une vidéo relatant ces innovations technologiques :
Jusqu’à présent, il a intercepté et abattu plus de 1 700 roquettes et missiles tirés sur Israël depuis diverses régions. Son premier déploiement majeur a eu lieu lors de l’opération Bordure protectrice en 2014, avec un taux de réussite incroyable de 90 %. Il est impossible de dire combien de vies Iron Dome a sauvées, et c’est vraiment une technologie remarquable.
La clé Disk-On originale a été créée par M-Systems, une société fondée par trois Israéliens. Dov Moran a conçu l’appareil en 1989, mais il n’a été lancé qu’en 2000. Depuis lors, il est devenu un outil quotidien pour des millions de personnes à travers le monde.
En 2005, PC World a désigné la clé USB comme l’un des 10 meilleurs gadgets au monde au cours des cinquante dernières années ; il a également reçu le prix le plus innovant d’EDN en 1995. Finalement, M-Systems a été racheté par la société américaine SanDisk en 2006 pour la somme colossale de 1,6 milliard de dollars.
En 1993, Checkpoint Software Technologies a été fondée dans un petit appartement à Ramat Gan par Gil Shwed, 25 ans, et deux de ses amis. Il souhaitait développer des moyens de protéger les informations, ce qui a finalement conduit au premier produit de l’entreprise, Firewall-1. Il a eu l’idée du produit lors de son service militaire dans l’unité 8200 de Tsahal où il a travaillé à la sécurisation des réseaux d’informations classifiées.
Aujourd’hui, la société est l’un des principaux fournisseurs mondiaux de solutions de sécurité informatique, avec plus de 100 000 clients et 2 300 employés à travers le monde.
La société Given Imaging a été fondée en 1998 par le Dr Gabriel Meron et a rapidement révolutionné le monde du diagnostic gastro-intestinal. La société a développé une caméra miniature, de la taille d’une petite pilule, pour visualiser et détecter les troubles.
Les patients n’ont qu’à avaler la pilule et la caméra envoie des données à un ordinateur et des images de l’intérieur du patient. Bien sûr, l’appareil photo est conçu de manière à ce que le corps ne le décompose pas. Des millions de personnes ont bénéficié de PillCam et elle a été vendue à Covidien pour 860 millions de dollars en 2013.
Waze est une application de navigation pour smartphone qui est maintenant utilisée par plus de 50 millions de personnes à travers le monde. La société a été fondée en 2007, puis rachetée par Google pour la somme impressionnante de 1,1 milliard de dollars en 2013.
L’application utilise les données des utilisateurs et de leurs téléphones pour fournir des mises à jour du trafic en temps réel et aider les gens à éviter les embouteillages.
Les semi-conducteurs se trouvent dans chaque pièce de matériel que nous utilisons, des ordinateurs personnels, des voitures, des bases de données, des grille-pains aux fusées, et plus encore.
Israël est connu mondialement pour son innovation matérielle. Avec un besoin sans cesse croissant de puissance de traitement, grâce aux mégadonnées et à l’IA, il n’est pas surprenant que ce pays ait continué à régner en tant que puissance mondiale dans la R&D des semi-conducteurs et des puces informatiques.
Intel a annoncé en mai qu’il investirait 10 milliards de dollars dans un nouveau centre de traitement à Kiryat Gat en plus d’investir 600 millions de dollars dans ses centres de Haïfa et de Jérusalem.
Google a annoncé qu’il doublerait la conception et la production de puces informatiques israéliennes. Ils ont embauché l’ancien cadre supérieur d’Intel, Uri Frank, en tant que vice-président de l’ingénierie de la conception de puces de serveur pour construire une équipe de classe mondiale en Israël.
La technologie ne peut évoluer qu’à la vitesse des puces informatiques sur lesquelles elle est construite. Alors, comment Israël les rend-ils plus rapides ?
La réponse est l’informatique quantique.
L’informatique quantique est un type d’informatique qui exploite les propriétés des états quantiques pour créer des calculs. Naturellement, les ordinateurs ne peuvent calculer les informations qu’à la vitesse à laquelle la physique permet aux particules de se déplacer. Mais, en utilisant les propriétés quantiques, l’information peut se déplacer beaucoup, beaucoup plus rapidement qu’il n’est actuellement possible.
Qui aurait pensé il y a deux ans que le marché deviendrait fou et que les horlogers de luxe seraient obligés de refuser des clients ? Parce que c’est la situation. Rolex ne prend plus de commandes, et les magasins n’ont plus de montres en stock et la liste d’attente de certains modèles dépasse les 10 ans. Le marché est-il devenu fou ? Certains des modèles actuels sont tellement demandés qu’ils sont plus chers sur le marché de seconde main.
FinanceEn temps de crise, seuls deux produits conservent leur valeur : une Rolex et l’or. Ce célèbre adage s’est illustré ces derniers mois par l’explosion du prix des montres de luxe. C’est assez simple : il n’y a plus rien à vendre pour certaines marques. Pour Jean-Pierre Valentini, le marché des montres de luxe de seconde main offre de belles opportunités. Il l’a d’ailleurs déjà constaté depuis 2018, lorsqu’il a investi dans Tradee.
Chez certaines marques, il n’y a plus de produits disponibles, et le délai d’attente peut aller jusqu’à 10 ans pour certains modèles de Rolex. En conséquence, le marché des montres de luxe d’occasion s’est enflammé et certains modèles se négocient à 10 fois le prix catalogue. Une bulle spéculative s’est formée sur certains modèles, et même les caisses vides atteignent des sommets. Dans cet article, nous allons voir l’évolution du marché des montres de luxe selon l’expert Jean-Pierre Valentini.
“Qui aurait pensé il y a deux ans que le marché deviendrait fou et que les horlogers de luxe seraient obligés de refuser des clients ? Parce que c’est la situation” explique Jean-Pierre Valentni. Rolex ne prend plus de commandes, et les magasins n’ont plus de montres en stock et la liste d’attente de certains modèles dépasse les 10 ans. Le marché est-il devenu fou ? Certains des modèles actuels sont tellement demandés qu’ils sont plus chers sur le marché de seconde main.
Pour la plupart des gens, il s’agit d’un marché spéculatif. Pour en être sûr, Jean-Pierre Valentini a analysé le marché. Ces résultats, jamais vus auparavant, montrent une réalité beaucoup plus contrastée. Le premier constat est que les prix de certaines marques de montres de luxe ne font qu’augmenter. Si l’on exclut certains modèles spéculatifs, Rolex a grimpé de 147 % en 10 ans.
La conclusion la plus évidente est que ce marché est essentiel pour les marques de montre de luxe. Ils l’avaient auparavant négligé, voire snobé. Ce marché ne méritait pas leur attention, et les clients n’y achetaient pas non plus. Les montres d’occasion étaient rachetées, réparées puis revendues. Un excellent moyen de contrôler à qui ces pièces d’exception ont été vendues et ainsi d’élargir le portefeuille clients.
C’est un fait aujourd’hui que la clientèle de ces manufactures horlogères évolue. Nous assistons actuellement un rajeunissement dans tous les sens du terme. Il y a notamment l’essor des clients ayant gagné une fortune avec les crypto-monnaies, et qui veulent exhiber leur fortune. D’autre part, un rajeunissement des méthodes de vente et du marketing horloger. Les entreprises suisses centenaires voient leurs stratégies bouleversées par les réseaux sociaux.
La crise du Covid a marqué le début de la flambée des prix. Ce mouvement haussier a commencé dès le mois d’août 2020, c’est-à-dire bien avant que l’inflation galopante ne s’enracine. Nous pouvons spéculer sur cette frénésie, mais la peur était sans aucun doute un moteur puissant. Après la stupéfaction des premières semaines, la crainte d’un effondrement économique a poussé certaines valeurs vers de nouveaux sommets. L’or, valeur refuge par nature, a dépassé les 2 000 dollars le gramme en août 2020.
Ce climat anxieux, cette peur de tout perdre, a probablement inciter les gens à investir dans des actifs tangibles. Les montres de luxe en font partie. Depuis 2021, nous sommes entrés dans une autre phase inflationniste. Elle pousse les horlogers à augmenter leurs prix de vente. L’inflation érode progressivement le pouvoir d’achat, et certains sont sans doute tentés d’acheter aujourd’hui. L’inflation va s’ajouter à la croissance organique du prix des montres de luxe et les rendre encore plus élitistes.
L’horlogerie n’est plus une passion pour les amateurs du luxe. C’est désormais un secteur où la spéculation et le marketing ont pris le dessus. On voit émerger des produits financiers autour des montres de luxe, qui proposent par exemple d’acheter des actions de montres. Est-ce dire qu’il s’agit d’une bulle spéculative ? Pour certains modèles, en effet. Pour les autres, pas du tout. S’il y a éclatement de la bulle, seuls certains modèles seront impactés. Les autres ne subiraient qu’une correction indirecte. Si vous avez de l’argent à investir, le mieux serait de privilégier les modèles qui n’ont pas été touchés par la folie spéculative, notamment les Rolex.
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Le nom du journaliste Gabriel Combris est souvent associé à sa lutte contre Big Pharma. Mais il l’est aussi à d’autres scandales sanitaires comme le Médiator, le Dépakine et les implants mammaires PIP où l’argent prend le pas sur la santé publique. Pour mieux comprendre ses idées, retour sur le parcours de ce lanceur d’alertes.
Actualité France SantéLe grand public associe le nom du journaliste Gabriel Combris à la santé naturelle. Comme l’opinion publique, ce journaliste a en effet tiré toutes les leçons de certains fiascos tels que le Médiator, le Dépakine et les implants mammaires PIP. Partout où l’argent prend le pas sur la santé publique. Pour mieux comprendre ses idées, retour sur le parcours du lanceur d’alerte Gabriel Combris.
Journaliste depuis 1998, Gabriel Combris oriente en 2013 sa carrière vers le thème de la santé en suivant les grands scandales sanitaires contemporains retracés dans les médias. À commencer par le procès du Médiator dont le verdict intervient en Mars 2021 après plus d’une décennie de batailles juridiques. En 2015, c’est la Dépakine qui est largement montré du doigt pour ses effets secondaires. Ce médicament prescrit contre les convulsions dues à la fièvre a coûté quelques milliers d’euros en dommages et intérêts à son créateur, le laboratoire Sanofi. Cette affaire détient le record de lenteur car on connaît ses premiers effets secondaires dès les années 1980. La Dépakine est pourtant prescrite jusqu’en 2010 : 3 décennies de trop selon le journaliste d’investigation et l’avocat de la famille qui a porté plainte en 2015 contre Sanofi et l’Agence Nationale du médicament. La troisième affaire est celle des implants mammaires fabriqués par la société Poly Implant Prothèse. Cette entreprise française a été très lourdement condamnée pour avoir fourni à 500000 femmes dans le monde des prothèses dont le gel silicone était non conforme à la réglementation. Cela a touché près de 30000 femmes en France. Ce scandale sanitaire à l’échelle internationale a duré près de 11 ans. Le fondateur de cette société, Jean-Claude (mort en 2019) n’a purgé que 8 mois de prison sur les 4 ans auxquels il était condamné.
En suivant toutes ces affaires, Gabriel Combris souhaite souligner les manquements de la justice quand il s’agit des affaires concernant les groupes pharmaceutiques. Le journaliste note particulièrement la lenteur du système judiciaire et des peines prononcées à l’encontre des dirigeants.
En parallèle, le journaliste publie des articles pour Alternatif bien-être, Plantes et santé et Puresanté. Il fonde également les Editions Viva Santé et dirige également Révolution Santé, du Neuf pour ma santé ainsi que Plantissime. Son combat contre le géant pharmaceutique Big Pharma l’amène aussi à participer à ses conférences prônant d’autres façons de se soigner. Pour ceux qui ne connaissent pas Big Pharma, ce terme réunit sous une même entité tous les magnas pharmaceutiques. Enfin, Gabriel Combris est auteur du best-seller, les 65 fantastiques (plus de 100000 livres vendus) et 100 remèdes naturels totalement révolutionnaires.
Dans ses articles et ses lettres, le lanceur d’alertes fait part des avancées de la médecine naturelle. Il aborde la maladie d’Alzheimer soignée sans médicaments ou encore la vitamine C et le régime cétogène utilisés dans la guérison du cancer. Il illustre ces affirmations avec des cas précis et cite les travaux de certains Prix Nobel de médecine.
Diplômé en 1998 de l’IEP de Paris, Gabriel Combris a débuté sa carrière dès la sortie de l’école. Il s’est avéré être un journaliste polyvalent, écrivant aussi bien dans les journaux que dans les magazines. Le public a ainsi pu le découvrir toutes les semaines.
Parmi ces employeurs, on retrouve notamment Le Figaro, le Nouveau Détective, les Echos et le messager de St Antoine. Il a bâti une expérience solide de 20 ans. A l’image des héros de sa jeunesse Tintin et Rouletabille. Ces derniers ont accompagné ses séjours à l’hôpital où le lanceur d’alertes devait rester allongé.
On peut dire que le journalisme a épanoui notre lanceur d’alertes pour qui le parcours scolaire n’a pas été toujours facile au vu de son état de santé.
En effet, il a fallu attendre le lycée pour que Gabriel Combris se révèle avec son goût pour la lecture et l’écriture journalistique. Il décrocha ainsi son bac pourvu d’une “mention bien” en 1994. Tiraillé par la fac de médecine d’un côté et sciences po de l’autre, il finit par suivre son 2e choix et il quitta son Auvergne natale pour Paris.
Gabriel Combris ne devient pas lanceur d’alertes du jour au lendemain. D’autres événements antérieurs à Big Pharma et aux scandales sanitaires cités précédemment sont survenus dans sa jeunesse. Ils ont ainsi aiguisé son aptitude à enquêter et expliquent l’homme qu’il est aujourd’hui.
Avant Big Pharma, le journaliste s’intéresse dès l’adolescence à l’industrie du tabac et à ses méfaits. En effet, le cancer de la gorge de son oncle l’affecte beaucoup et lui a permis de mettre en lumière la nocivité du tabac.
Enfin, le lanceur d’alertes, né le 13 septembre 1977 à Moulins (Auvergne) a hérité d’une bonne plume de son père instituteur et de ses connaissances de sa mère infirmière qu’il accompagnait enfant lors de ses tournées.
Plus d’infos sur Gabriel Combris : https://www.linkedin.com/in/gabriel-combris-966625246/
Michele Tecchia, passionné par l’univers du digital, est à la tête d’une startup de conseils en marketing digital basée à Monaco. Israël est aujourd’hui considéré au même titre que les Etats-Unis, l’Angleterre et le canada comme un pays où il fait bon d’entreprendre. Proposant un écosystème attractif favorable à l’innovation, l’Etat hébreu héberge actuellement plus de 9000 startups dont environ 70 licornes. Ces dernières opèrent dans presque tous les domaines ; les nouvelles technologies et l’énergie concentrent toutefois plus de la moitié des investissements. Ce succès tient de la combinaison de nombreux facteurs dont une politique volontariste de l’exécutif, une forte culture entrepreneuriale et une formation soutenue favorable. Venez à la découverte de ce qui fait d’Israël, une « Start up Nation ».
Innovation IsraëlMichele Tecchia, passionné par l’univers du digital, est à la tête d’une startup de conseils en marketing digital basée à Monaco.
Israël est aujourd’hui considéré au même titre que les Etats-Unis, l’Angleterre et le canada comme un pays où il fait bon d’entreprendre. Proposant un écosystème attractif favorable à l’innovation, l’Etat hébreu héberge actuellement plus de 9000 startups dont environ 70 licornes. Ces dernières opèrent dans presque tous les domaines ; les nouvelles technologies et l’énergie concentrent toutefois plus de la moitié des investissements. Ce succès tient de la combinaison de nombreux facteurs dont une politique volontariste de l’exécutif, une forte culture entrepreneuriale et une formation soutenue favorable. Venez à la découverte de ce qui fait d’Israël, une « Startup Nation ».
L’Etat Hébreu a su s’appuyer sur son système de formation et la culture du risque de sa population pour mettre une politique de l’innovation en œuvre. En moins de 50 ans, il a créé l’un des écosystèmes de l’innovation les plus attractifs de la planète. Avec plus de 9000 start-ups implantées, il possède le ratio de nombre startup par habitant le plus élevé du monde. La majorité a atteint un niveau de développement avancé, et affiche un dynamisme qui impacte positivement les nouvelles boîtes. Il est alors plus approprié de qualifier le pays de « scale up nation ». L’appétence des investisseurs sans cesse croissante soutient cette tendance.
En 2021, les start-ups Israéliennes ont réussi à lever plus de 23 milliards de dollars contre 10 milliards environ l’année précédente. 70 d’entre elles sont valorisées à plus d’un milliard de dollars. La FinTech, la cyber sécurité et la big data concentrent plus de 60% des investissements. Les progrès dans les autres domaines tels que la santé, l’agriculture et l’énergie ne sont toutefois pas moins remarquables. Les entreprises sont pour la plupart installées à Tel Aviv et Haïfa.
Israël compte plusieurs milliers de super start-ups. Il serait laborieux d’en établir une liste complète. Voici tout de même quelques-unes des plus connues dans le monde entier.
Wix
Wix est une société de création de sites web avec le langage HTML5. Créée en 2006 par A. Avishai, A.Nadav et G.Kaplan, son siège se trouve à Tel Aviv. Il obtient son premier investissement en 2007 et propose des éditeurs dans plusieurs langues du monde dont le Français, l’Italien et le Portugais entre autres à partir de 2010. En 2013, la société fait son entrée au Nasdaq et embrasse une année plus tard, les secteurs de l’hôtellerie et de la musique. Elle créé également une Marketplace au profit de ses partenaires afin de leur permettre de promouvoir leurs affaires.
Usant de la technologie de l’intelligence artificielle, elle met d’autres éditeurs de conception automatisée de sites web sur le marché. Elle emploie aujourd’hui environ 2500 personnes et possède une capitalisation de plus de 6 milliards de dollars. Son chiffre d’affaire d’annuel est estimé à 978 millions de dollars en 2020.
Mobileye
Mobileye est une start up Israélienne créée en 1999 par A. Shashua. Elle est spécialisée dans la conception de systèmes d’aide à la conduite, de véhicules autonomes et de remorques. Basé à Jérusalem, elle emploie environ 404 techniciens. Elle a signé au fil des années, de nombreux partenariats technologiques avec des marques automobiles telles que Volkswagen, Renault-Nissan, BMW qui ont favorisé son essor.
Aujourd’hui, plus d’un million de véhicules sont équipés de la technologie d’aide à la conduite conçue par Mobileye. Sa capitalisation est estimée à 11 milliards de dollars. Elle est rachetée en 2017 par Intel pour 15 milliards de dollars.
Viber
Viber est une société israélienne crée en 2010 à Tel Aviv par Talmon Marco proposant un service de messagerie instantanée par téléphone, ordinateur et tablette. Rachetée en 2014 par le géant Japonais Rakuten, sa dénomination devient Rakuten Viber. Avec plus de 400 millions d’utilisateurs, c’est l’une des plateformes de messagerie les plus utilis2es dans le monde entier.
Israël est aujourd’hui considéré comme l’une des nations les plus innovantes de la planète. Il suscite l’intérêt de nombreuses entreprises étrangères qui n’hésitent pas à financer la recherche et le développement dans le pays. Environ 53% des fonds alloués aux start-ups Israéliennes proviennent de l’étranger. Ce modèle est différent de celui d’autres écosystèmes comme celui de la France où le financement est majoritairement issu des entreprises nationales et de l’état.
Le pays apparaît donc comme un foyer de développement de projets soutenus par l’extérieur avec d’importantes ressources. Il est ainsi directement lié au marché mondial. Ses technologies sont par ailleurs vendues à des multinationales américaines, européennes, asiatiques et depuis peu avec la normalisation des relations diplomatiques, du moyen orient. Le rôle de l’état n’est toutefois pas négligeable.
Grâce au programme Yozma mis en place dans les années 90, Israël est devenu un pays avec un capital risque élevé. Il est désormais plus facile pour les entreprises high tech de s’installer et de bénéficier d’un financement pour leur développement. L’état consacre d’ailleurs environ 6% du PIB pour la recherche et le développement, ce qui constitue le taux le plus élevé au monde.
On dénombre dans le pays 350 incubateurs et accélérateurs, environ 500 multinationales promouvant l’innovation au moyen de centres R&D et 200 fonds de capital-risque. L’environnement est donc favorable pour l’essor des start-ups.
Le pays dispose de 07 universités de renommée mondiale très actives dans le transfert de technologies. L’une d’entre elles est le Technion, l’institut technologique d’Haïfa qui dispose d’un incubateur et a contribué à la création d’environ 80 entreprises high tech. C’est un vivier d’entrepreneurs d’où sont issus trois récipiendaires du prix Nobel, ce qui traduit l’excellente qualité des enseignements dispensés. Il est comparé au célèbre MIT aux États-Unis.
La culture de l’innovation caractérise l’Etat Hébreu. Plusieurs paramètres expliquent ce fait. D’un point de vue historique, la jeune nation désertique a dû travailler dur pour devenir une puissance économique. La population est constamment animée d’un esprit d’entreprise, de recherche de solutions. D’un point de vue géographique, son isolement le pousse à s’ouvrir au monde et ses ressources limitées l’amènent à innover.
En outre, le service militaire obligatoire a un fort impact sur la mentalité des citoyens. Le devoir de se surpasser pour atteindre ses objectifs et le travail d’équipe sont des valeurs inculquées qui profitent grandement aux futurs entrepreneurs. Récemment, des formations de haut niveau en technologie sont délivrées, ce qui permet aux apprenants de se lancer immédiatement après le service militaire.
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